Paroles de la chanson La Meuse par L (Raphaële Lannadère)
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Paroles de la chanson La Meuse par L (Raphaële Lannadère)
Entends-tu, dans ma voix
Cet accent, où se creusent les « ou »
Je dis « ui », c’est la Meuse
Qui charrie, malgré moi
Ses chagrins d’avant toi, d’avant nous
Dans ma voix, c’est la Meuse
Qui cause, malgré tout
Le matin, en patois
Oh les matins, surtout
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
Cet accent, où se creusent les « ou »
Je dis « ui », c’est la Meuse
Qui charrie, malgré moi
Ses chagrins d’avant toi, d’avant nous
Dans ma voix, c’est la Meuse
Qui cause, malgré tout
Le matin, en patois
Oh les matins, surtout
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Vois-tu, à mon teint pâle
Les stigmates de saisons rigoureuses
Où la pluie, langoureuse
S’invite toujours au bal
Et se hâte de couvrir de brume
Les pierres malheureuses
Sans même penser à mal
Mon teint pâle, mes yeux bleus
Sont un voile de brume
Entends-tu, dans ma voix
Cet accent, où se creusent les « ou »
Je dis « ui », c’est la Meuse
Qui charrie, malgré moi
Ses chagrins d’avant toi, d’avant nous
Dans ma voix, c’est la Meuse
Vois-tu, à mon teint pâle
Les stigmates de saisons rigoureuses
Où la pluie, langoureuse
S’invite toujours au bal
Et se hâte de couvrir de brume
Les pierres malheureuses
Sans même penser à mal
Mon teint pâle, mes yeux bleus
Sont un voile de brume
Entends-tu, dans ma voix
Cet accent, où se creusent les « ou »
Je dis « ui », c’est la Meuse
Qui charrie, malgré moi
Ses chagrins d’avant toi, d’avant nous
Dans ma voix, c’est la Meuse
Qui cause, malgré tout
Le matin, en patois
Oh les matins, surtout
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Vois-tu, à mon teint pâle
Les stigmates de saisons rigoureuses
Où la pluie, langoureuse
S’invite toujours au bal
Et se hâte de couvrir de brume
Les pierres malheureuses
Le matin, en patois
Oh les matins, surtout
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Vois-tu, à mon teint pâle
Les stigmates de saisons rigoureuses
Où la pluie, langoureuse
S’invite toujours au bal
Et se hâte de couvrir de brume
Les pierres malheureuses
Sans même penser à mal
Mon teint pâle, mes yeux bleus
Sont un voile de brume
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Entends-tu, dans ma voix
Cet accent, où se creusent les « ou »
Je dis « ui », c’est la Meuse
Qui charrie, malgré moi
Ses chagrins d’avant toi, d’avant nous
Dans ma voix, c’est la Meuse
Mon teint pâle, mes yeux bleus
Sont un voile de brume
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Entends-tu, dans ma voix
Cet accent, où se creusent les « ou »
Je dis « ui », c’est la Meuse
Qui charrie, malgré moi
Ses chagrins d’avant toi, d’avant nous
Dans ma voix, c’est la Meuse
Qui cause, malgré tout
Le matin, en patois
Oh les matins, surtout
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Vois-tu, à mon teint pâle
Les stigmates de saisons rigoureuses
Où la pluie, langoureuse
S’invite toujours au bal
Et se hâte de couvrir de brume
Les pierres malheureuses
Le matin, en patois
Oh les matins, surtout
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
Vois-tu, à mon teint pâle
Les stigmates de saisons rigoureuses
Où la pluie, langoureuse
S’invite toujours au bal
Et se hâte de couvrir de brume
Les pierres malheureuses
Sans même penser à mal
Mon teint pâle, mes yeux bleus
Sont un voile de brume
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
C'est la Meuse
C'est la Meuse
Mon teint pâle, mes yeux bleus
Sont un voile de brume
Et si parfois, ce parfum
Sans prévenir, revient
J’y peux rien, j’y peux rien
Mon teint pâle, c’est la Meuse
Mes grands yeux, bleus de pluie
Je dis « ui », j’y peux rien
C’est la Meuse
C'est la Meuse
C'est la Meuse
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