Paroles de la chanson Je Suis Un Monstre De Perversité par La Bande A Bonnot
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Paroles de la chanson Je Suis Un Monstre De Perversité par La Bande A Bonnot
Y en a qui collectionnent
Les scarabées
Y en a qui affectionnent
Les macchabées
Y a des gens qu'ont la passion
Des orthoptères, des ascensions
Des vieilles cafetières
Des pipes en terre
Des occasions
Y en a qui collectionnent
Les assiettes bleues
Y en a qui se passionnent
Pour le vin vieux
Tous ces gens cherchent sans arrêt
L'idéal qui les satisfait
Les scarabées
Y en a qui affectionnent
Les macchabées
Y a des gens qu'ont la passion
Des orthoptères, des ascensions
Des vieilles cafetières
Des pipes en terre
Des occasions
Y en a qui collectionnent
Les assiettes bleues
Y en a qui se passionnent
Pour le vin vieux
Tous ces gens cherchent sans arrêt
L'idéal qui les satisfait
Mais moi le seul truc qui me plaît
Voilà c'que c'est :
J'suis un monstre de perversité
J'suis l'contraire d'une soeur de charité
J'remplis des ma-a-lles
De coeurs de mâ-â-les
Je m'en réga-a-le
Avec avi-di-té !
J'suis l'tombeau des passions déchaînées
Ma seule joie, c'est d'voir les coeurs saigner
J'arrache les â-â-mes
Pour en faire des beignets
J'suis un monstre de perversité
Quand j'imagine un homme
Entre mes mains
Voilà c'que c'est :
J'suis un monstre de perversité
J'suis l'contraire d'une soeur de charité
J'remplis des ma-a-lles
De coeurs de mâ-â-les
Je m'en réga-a-le
Avec avi-di-té !
J'suis l'tombeau des passions déchaînées
Ma seule joie, c'est d'voir les coeurs saigner
J'arrache les â-â-mes
Pour en faire des beignets
J'suis un monstre de perversité
Quand j'imagine un homme
Entre mes mains
Babylone ou Sodome
Ne sont plus rien !
J'le déshabille jusqu'aux doigts d'pied
Il ferme les yeux, prêt à s'pâmer...
Et j'lui balance
Un pot d'faïence
Plein d'eau glacée !
J'connais des p'tits masos
Des enfants d'choeur
Qui s'flanquent des coups d'ciseaux
Pour se faire peur !
Moi si un jour on m'condamnait
J'demand'rais une glace au geôlier
Pour voir ma bouille quand l'bourreau
M'décapit'rait !
Oui !
J'suis un monstre de perversité
Ne sont plus rien !
J'le déshabille jusqu'aux doigts d'pied
Il ferme les yeux, prêt à s'pâmer...
Et j'lui balance
Un pot d'faïence
Plein d'eau glacée !
J'connais des p'tits masos
Des enfants d'choeur
Qui s'flanquent des coups d'ciseaux
Pour se faire peur !
Moi si un jour on m'condamnait
J'demand'rais une glace au geôlier
Pour voir ma bouille quand l'bourreau
M'décapit'rait !
Oui !
J'suis un monstre de perversité
Et pourtant, j'en tire pas vanité
Tueurs notoi-a-res
Tyrans d'Histoi-a-re
Bandits sans gloi-a-re
Peuvent se rha-bi-ller
Tout le jour, j'assassine sans répit
Et j'rédige mes aveux par écrit
J'gagne ma vie dans l'ro-man... po-li-cier
J'suis un monstre de perversité
Qu'on se l'dise !
Na !
Tueurs notoi-a-res
Tyrans d'Histoi-a-re
Bandits sans gloi-a-re
Peuvent se rha-bi-ller
Tout le jour, j'assassine sans répit
Et j'rédige mes aveux par écrit
J'gagne ma vie dans l'ro-man... po-li-cier
J'suis un monstre de perversité
Qu'on se l'dise !
Na !
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