Paroles de la chanson Armure de fer par LaGaScred
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Paroles de la chanson Armure de fer par LaGaScred
Armure de fer, cœur en métal
J'accuse ma terre, mon idéal
Ambiance de merde,"ness-bi" rentables
Suspendu, étendu dans l'sable
Lancinante âme, violence natale
Attirant mal, sans cœur en panne
Sentiments nazes, à part ma dame
Un coup d air max dans la nette-ca
Mâchant ma rage je m'emballe
22 ans âge, c'est minable
J'ne sortirai pas par le toit
Je ne leur dirai pas mon état!
Je suis cet infâme, d'ici et du 9.7.4
J'ai en moi tant d'entailles mais quand je rap mon mal s'écarte
Je te laisse les tass et tout ce rap qui pue la dalle
J'accuse ma terre, mon idéal
Ambiance de merde,"ness-bi" rentables
Suspendu, étendu dans l'sable
Lancinante âme, violence natale
Attirant mal, sans cœur en panne
Sentiments nazes, à part ma dame
Un coup d air max dans la nette-ca
Mâchant ma rage je m'emballe
22 ans âge, c'est minable
J'ne sortirai pas par le toit
Je ne leur dirai pas mon état!
Je suis cet infâme, d'ici et du 9.7.4
J'ai en moi tant d'entailles mais quand je rap mon mal s'écarte
Je te laisse les tass et tout ce rap qui pue la dalle
Mort vivant j'ai bu la tasse sans les croissants et les plateaux d'or
Nos châteaux forts nous enferment, comprends l'arnaque!
Ma chute me retarde sans me laisser de marques au corps
On perd confiance comme ces Hommes accrocs au Crack
Enigmatique destin dans les entrailles
Ma ville se moque du thème astral
Ma cause m'accable, coma d'batard je marche seul au radar
Tel un coup de matraque, LGS et Macroabstract
Je me défonce le crâne dans le mur pour me vider les neurones
Pour nous la vie c'est noir et rouge jamais on ne l'aperçoit en rose
Euphémismes et barbaries, Paris et sa périphérie
Nos châteaux forts nous enferment, comprends l'arnaque!
Ma chute me retarde sans me laisser de marques au corps
On perd confiance comme ces Hommes accrocs au Crack
Enigmatique destin dans les entrailles
Ma ville se moque du thème astral
Ma cause m'accable, coma d'batard je marche seul au radar
Tel un coup de matraque, LGS et Macroabstract
Je me défonce le crâne dans le mur pour me vider les neurones
Pour nous la vie c'est noir et rouge jamais on ne l'aperçoit en rose
Euphémismes et barbaries, Paris et sa périphérie
Le silence est un grand ami normal il nous a vu grandir
Je rêve d'une grande île mais mon rêve se casse le « zen »
Mes espérances s'amenuisent et passent toutes leurs nuits à l'hôtel
Et à l'ancienne tes frères te font l'amour tous à long terme
Quand ton avenir t'attend, avec le diable et sa lanterne
REFRAIN:
On pète la vitre, car le stress nous y pousse!
C'est le mal qui nous épouse
C'est le charme de ma déroute
Armure de fer pour mieux t'assurer ta chute
On a tous le même regard, celui d'la rage a l'état brute
Je rêve d'une grande île mais mon rêve se casse le « zen »
Mes espérances s'amenuisent et passent toutes leurs nuits à l'hôtel
Et à l'ancienne tes frères te font l'amour tous à long terme
Quand ton avenir t'attend, avec le diable et sa lanterne
REFRAIN:
On pète la vitre, car le stress nous y pousse!
C'est le mal qui nous épouse
C'est le charme de ma déroute
Armure de fer pour mieux t'assurer ta chute
On a tous le même regard, celui d'la rage a l'état brute
On pète la vitre, attention aux éclats!
L'apesanteur nous écrase
L'âme en deuil, noir et sale
Armure de fer pour mieux t'assurer ta chute
On a tous le même regard celui d'la rage a l état brute
Celui qui tombe à coté d'une tombe, adossé à la honte
Vagabond a la longue
Bout de périples sur des sons
Libellule enfermée dans une cage de bronze
Celui qui tente, issu des décombre, ramassez mes démons!
Badaboum!!! je m'effondre
J'ai pété la béquille celle du cœur qui tient les ondes
Et quitté la maison quand l'amour tient ma raison
L'apesanteur nous écrase
L'âme en deuil, noir et sale
Armure de fer pour mieux t'assurer ta chute
On a tous le même regard celui d'la rage a l état brute
Celui qui tombe à coté d'une tombe, adossé à la honte
Vagabond a la longue
Bout de périples sur des sons
Libellule enfermée dans une cage de bronze
Celui qui tente, issu des décombre, ramassez mes démons!
Badaboum!!! je m'effondre
J'ai pété la béquille celle du cœur qui tient les ondes
Et quitté la maison quand l'amour tient ma raison
Tjrs wicked, car la fumette ça ralenti
T'as pas compris tu parle dans l'vide
Tu pars en vrille par leur emprise
C'est ma doctrine, sans sale notice
Mon taf d'autiste, ma rage tactile
Nos mélodies, nos faits maudits
Nos inerties nous déraisonnent
La nostalgie de l'éosine
L'érosion de nos récits
Nos vies qu'on fout en l'air sans dire merci
Mon rire trempé dans de l'acide
J'ai contemplé de haut, mais pourtant je suis bas!
Les mcs sont ils si bad ? Ça sent la triche dans leurs syllabes
Dans mes sillons y'a trop de crasse et la justice me tire la langue
Une balle dans la pomme d'Adam pour rentrer dans la légende....
T'as pas compris tu parle dans l'vide
Tu pars en vrille par leur emprise
C'est ma doctrine, sans sale notice
Mon taf d'autiste, ma rage tactile
Nos mélodies, nos faits maudits
Nos inerties nous déraisonnent
La nostalgie de l'éosine
L'érosion de nos récits
Nos vies qu'on fout en l'air sans dire merci
Mon rire trempé dans de l'acide
J'ai contemplé de haut, mais pourtant je suis bas!
Les mcs sont ils si bad ? Ça sent la triche dans leurs syllabes
Dans mes sillons y'a trop de crasse et la justice me tire la langue
Une balle dans la pomme d'Adam pour rentrer dans la légende....
Offensif malgré l'impact de nos actes
Je reste intact, céleste et fade
Les tripes collées sous cellophanes
Les cris scellés sous BPM
On se regarde tomber sans jamais vouloir dire un mot
Et on souhaite seulement que l'autre se pète le crâne de bien plus haut
On attend notre tour sans jamais laisser passer personne
Nos mal êtres nous pistonne
Et nos galères nous pirate
On entend la foule sans jamais laisser parler le sens
Le diable ère et nous isole
Veut nous proposer l'opinel
A l'âge adulte ou petit môme, tous on combat
Ce n'est pas la chute qui compte, mais celui qui te poussera
Je reste intact, céleste et fade
Les tripes collées sous cellophanes
Les cris scellés sous BPM
On se regarde tomber sans jamais vouloir dire un mot
Et on souhaite seulement que l'autre se pète le crâne de bien plus haut
On attend notre tour sans jamais laisser passer personne
Nos mal êtres nous pistonne
Et nos galères nous pirate
On entend la foule sans jamais laisser parler le sens
Le diable ère et nous isole
Veut nous proposer l'opinel
A l'âge adulte ou petit môme, tous on combat
Ce n'est pas la chute qui compte, mais celui qui te poussera
On pète la vitre, car le stress nous y pousse
C'est le mal qui nous épouse
C'est le charme de ma déroute
Armure de fer pour mieux t'assurer ta chute
On a tous le même regard celui d'la rage a l'état brute
On pète la vitre, attention aux éclats
L'apesanteur nous écrase
L'âme en deuil noir et sale
Armure de fer pour mieux t'assurer ta chute
On a tous le même regard celui d'la rage a l état brute
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