Paroles de la chanson Tellement faim par Laurie Darmon
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Paroles de la chanson Tellement faim par Laurie Darmon
Ce soir j’ai pas sommeil, j’ai pas envie de dormir
Je voudrais que tu te réveilles, qu’on s’encanaille au Brésil
Aller mais vient mon cœur, j’entends le rythme qui vibre
Partout, partout, toutes les heures, et puis ça part en folie
Je voudrais que tu m’aime en retour, que tu me le dises toute la nuit
Qu’ensemble on compte les jours, qui nous séparent de l’infini
L’infini c’est nos deux corps, qui ont mais tellement faim
Que même pas, même pas la mort, n’oserait y mettre faim
Je voudrais que tu te réveilles, qu’on s’encanaille au Brésil
Aller mais vient mon cœur, j’entends le rythme qui vibre
Partout, partout, toutes les heures, et puis ça part en folie
Je voudrais que tu m’aime en retour, que tu me le dises toute la nuit
Qu’ensemble on compte les jours, qui nous séparent de l’infini
L’infini c’est nos deux corps, qui ont mais tellement faim
Que même pas, même pas la mort, n’oserait y mettre faim
Réveille-toi mon amour, j’entends danser, j’entends s’aimer les couples
Ils sortent, ils se découvrent, et nous on reste là comme ça
On ne sert à rien, on ne sert à, à rien, non, c’est, c’est dingue au fond
Et puis je sais pas pourquoi, tu te poses des questions sur moi
Ah bon, voyons, je veux pas entendre ça non, non
Tais-toi
Je voudrais que tu m’aime en retour, que tu me le dises toute la nuit
Qu’ensemble on compte les jours, qui nous séparent de l’infini
L’infini c’est nos deux corps, qui ont mais tellement faim
Que même pas, même pas la mort, n’oserait y mettre faim
Tellement faim, mais tellement faim
Tellement faim, mais tellement, tellement faim
Tellement faim oui, mais tellement faim
Regarde comme je te veux, et toi tu n’en fais rien
J’en ai le corps fiévreux, de voir faner mes mains
Que je sais si habile, gracieuses mais pas dociles
Qui feraient couler le miel dans un désert aride
Non mais qu’attends-tu pour, oser lâcher les chiens
Sans laisse autour du cou, jusqu’au petit matin
Tellement faim, mais tellement faim
Tellement faim, mais tellement, tellement faim
Tellement faim oui, mais tellement faim
Regarde comme je te veux, et toi tu n’en fais rien
J’en ai le corps fiévreux, de voir faner mes mains
Que je sais si habile, gracieuses mais pas dociles
Qui feraient couler le miel dans un désert aride
Non mais qu’attends-tu pour, oser lâcher les chiens
Sans laisse autour du cou, jusqu’au petit matin
Au pire une morsure, ou deux si t’es chanceux
La trace d’une aventure à deux
Je voudrais que tu m’aime en retour, que tu me le dises toute la nuit
Qu’ensemble on compte les jours, qui nous séparent de l’infini
L’infini c’est nos deux corps, qui ont mais tellement faim
Que même pas, même pas la mort, n’oserait y mettre faim
La trace d’une aventure à deux
Je voudrais que tu m’aime en retour, que tu me le dises toute la nuit
Qu’ensemble on compte les jours, qui nous séparent de l’infini
L’infini c’est nos deux corps, qui ont mais tellement faim
Que même pas, même pas la mort, n’oserait y mettre faim
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