Paroles de la chanson OUTRO' : LES VEILLES par Laz'
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Paroles de la chanson OUTRO' : LES VEILLES par Laz'
Pour terminer, j’aimerais dédicacer tout mon entourage
Mes amis, ma famille, ceux qui m’ont donné un grand courage
Vous m'avez tous supportés dans les deux sens, malgré ma rage
Avant : automutilation, déprime ... maintenant, j’ai tourné la page
Mais je n’ai pas fini le livre de ma vie, non, jamais
J’ai encore des tas de choses qu’il faut que je raconte, ça m’est
Important, tel mon petit public, qui reste fidèle pourtant
Bien que j’oublie d’écrire en tant que moi-même, souvent
Mes amis, ma famille, ceux qui m’ont donné un grand courage
Vous m'avez tous supportés dans les deux sens, malgré ma rage
Avant : automutilation, déprime ... maintenant, j’ai tourné la page
Mais je n’ai pas fini le livre de ma vie, non, jamais
J’ai encore des tas de choses qu’il faut que je raconte, ça m’est
Important, tel mon petit public, qui reste fidèle pourtant
Bien que j’oublie d’écrire en tant que moi-même, souvent
Je me vois dans le passé en train de faire du son dégueulasse
Sans sens, constitué uniquement de jurons et menaces
Les gens m’ont dit « Lazhar tu ferais mieux de te pendre »
Je n’avais plus la foi ni la joie, mon estime ne fit que descendre
Car à l’époque, j’étais timide, j’avais l’air ridicule
«Moins mieux que la normale», ouais, qui simule
Le bonheur quand à l’intérieur, n’a plus envie de rien
A l’école, des gros problèmes, menant vie de chien
J’étais parti de loin, toujours bloqué dans mon coin
A ne parler à personne, sauf à mon propre esprit, putain
Sans sens, constitué uniquement de jurons et menaces
Les gens m’ont dit « Lazhar tu ferais mieux de te pendre »
Je n’avais plus la foi ni la joie, mon estime ne fit que descendre
Car à l’époque, j’étais timide, j’avais l’air ridicule
«Moins mieux que la normale», ouais, qui simule
Le bonheur quand à l’intérieur, n’a plus envie de rien
A l’école, des gros problèmes, menant vie de chien
J’étais parti de loin, toujours bloqué dans mon coin
A ne parler à personne, sauf à mon propre esprit, putain
Ayant le sentiment d’être rejeté, j’aboie
Un peu vrai mais faux à la fois
J'ai fait 100 titres vraiment bâclés dans l’année
Puis un triste jour, l’inspiration s’en est allé
J’avais rien pour me dépanner et calmer
Ma rage en raz-de-marée, assez !
Quasiment plus rien écrit, rentrant dans la déprime
Entre crises et cris, c’est là d’où s’émanent mes rimes
Et je l’ai rencontré, Ewa, désolé de prononcer ton nom
Fille polonaise dont je suis tombé amoureux pour de bon
Je n’ai pourtant jamais vu ton si sage visage en vrai
Un peu vrai mais faux à la fois
J'ai fait 100 titres vraiment bâclés dans l’année
Puis un triste jour, l’inspiration s’en est allé
J’avais rien pour me dépanner et calmer
Ma rage en raz-de-marée, assez !
Quasiment plus rien écrit, rentrant dans la déprime
Entre crises et cris, c’est là d’où s’émanent mes rimes
Et je l’ai rencontré, Ewa, désolé de prononcer ton nom
Fille polonaise dont je suis tombé amoureux pour de bon
Je n’ai pourtant jamais vu ton si sage visage en vrai
Et pendant qu'on discutait ensemble, la peine s’encrait
Au début, je me suis souvent coupé les bras
Car la solitude fait bien plus mal que tous ces dégâts
J'aimerais dire pardon pour toutes ces fois
Où je me suis plaint, ne pensant qu’à moi
Surtout pour quand je t’ai fait ce chantage au suicide
Quand j’y pense, j’aurais pu provoquer un double homicide
Et tu t’étais inquiété, quelques mois plus tard
Tu m’as même dit que t’avais prié pour moi, chaque soir
Je te remercie, ainsi que mes parents
Que j’ai rarement aidé, c’est navrant
Déchiré, presque taré, évidemment
Au début, je me suis souvent coupé les bras
Car la solitude fait bien plus mal que tous ces dégâts
J'aimerais dire pardon pour toutes ces fois
Où je me suis plaint, ne pensant qu’à moi
Surtout pour quand je t’ai fait ce chantage au suicide
Quand j’y pense, j’aurais pu provoquer un double homicide
Et tu t’étais inquiété, quelques mois plus tard
Tu m’as même dit que t’avais prié pour moi, chaque soir
Je te remercie, ainsi que mes parents
Que j’ai rarement aidé, c’est navrant
Déchiré, presque taré, évidemment
Un jour, j’ai pris une poignée de médicament
Espérant plonger dans le coma éternel
Vu à quel point ma vie était terne, elle …
Je remercie aussi mes camarades du collège Marc-Sangnier
Surtout ma classe de 3°1 qui pour une fois, m’a changé
Dorénavant, vous savez l’histoire de Lazhar
Un petit autiste encagé qui aimait semer le bazar
Né en France, à Grenoble, qui s’est voué à la musique
Certes, peu noble, mais je me suis forgé un public
Et finalement, c’est grâce à vous que j’en suis arrivé là, ce qui fait que j’essaye
Après les veilles, plus vivant que jamais, voici maintenant l’heure de l’éveil !
Espérant plonger dans le coma éternel
Vu à quel point ma vie était terne, elle …
Je remercie aussi mes camarades du collège Marc-Sangnier
Surtout ma classe de 3°1 qui pour une fois, m’a changé
Dorénavant, vous savez l’histoire de Lazhar
Un petit autiste encagé qui aimait semer le bazar
Né en France, à Grenoble, qui s’est voué à la musique
Certes, peu noble, mais je me suis forgé un public
Et finalement, c’est grâce à vous que j’en suis arrivé là, ce qui fait que j’essaye
Après les veilles, plus vivant que jamais, voici maintenant l’heure de l’éveil !
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