Paroles de la chanson La Pyramide par Le Devoir's Band
Auteurs: Georges Tortel
Compositeurs: Daniel Wawszczyk
Editeurs: Editions W48-Music
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Paroles de la chanson La Pyramide par Le Devoir's Band
1)
J’ai rêvé temples et pyramides
Splendeur sous le ciel du vieil Orient
Deux cent mille hommes, nus et humides
Dans la sueur, le travail, le sang.
Maîtres ouvriers ou hommes de peine
Avaient-ils la couleur de l’ébène
Ou la peau foncée d’un Nubien ?
Étaient-ils cuivrés comme un Libyen ?
Refrain :
Compagnon, j’ai songé à mes frères
Avec leurs espoirs et leurs souffrances
Compagnon, leur cœur meurtri espère
Amour, fraternité, connaissance.
J’ai rêvé temples et pyramides
Splendeur sous le ciel du vieil Orient
Deux cent mille hommes, nus et humides
Dans la sueur, le travail, le sang.
Maîtres ouvriers ou hommes de peine
Avaient-ils la couleur de l’ébène
Ou la peau foncée d’un Nubien ?
Étaient-ils cuivrés comme un Libyen ?
Refrain :
Compagnon, j’ai songé à mes frères
Avec leurs espoirs et leurs souffrances
Compagnon, leur cœur meurtri espère
Amour, fraternité, connaissance.
2)
Mais leur foi était-elle sincère ?
Dans ce désert de sable brûlant
Croyaient-ils vraiment à ce mystère ?
Pliaient-ils sous le joug du tyran ?
Tous ces tombeaux bâtis, gigantesques
Pour des petits demi-dieux dantesques
Fils de Râ, dieu aimé ou haï ?
Couvert des pierres du Sinaï.
Refrain
3)
Se sont écoulés quarante siècles
Aujourd’hui pour qui travailles-tu ?
Écoutes-tu la voix des oracles ?
Satisfais-tu encore aux vertus ?
En espérant parfois le miracle
Mais leur foi était-elle sincère ?
Dans ce désert de sable brûlant
Croyaient-ils vraiment à ce mystère ?
Pliaient-ils sous le joug du tyran ?
Tous ces tombeaux bâtis, gigantesques
Pour des petits demi-dieux dantesques
Fils de Râ, dieu aimé ou haï ?
Couvert des pierres du Sinaï.
Refrain
3)
Se sont écoulés quarante siècles
Aujourd’hui pour qui travailles-tu ?
Écoutes-tu la voix des oracles ?
Satisfais-tu encore aux vertus ?
En espérant parfois le miracle
Quel pharaon demeure au pinacle ?
Qui sont tes maîtres ou tes tyrans ?
Se nomment-ils, pouvoir, argent ?
Refrain
4)
S’il faut cependant choisir ses chaînes
Le premier maillon est liberté.
Elle n’est pas au pied de ton chêne
Mais en servant libre ton métier
Vois plus loin que la seule science
Accepte d’ouvrir ta conscience.
Provençal, Serrurier asservi
Le chante pour libérer sa vie.
Refrain : (Bis)
Qui sont tes maîtres ou tes tyrans ?
Se nomment-ils, pouvoir, argent ?
Refrain
4)
S’il faut cependant choisir ses chaînes
Le premier maillon est liberté.
Elle n’est pas au pied de ton chêne
Mais en servant libre ton métier
Vois plus loin que la seule science
Accepte d’ouvrir ta conscience.
Provençal, Serrurier asservi
Le chante pour libérer sa vie.
Refrain : (Bis)
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