Paroles de la chanson Couleurs poésie par Le grand Mal
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Paroles de la chanson Couleurs poésie par Le grand Mal
Sous la pluie rayonne le soleil
Dans la nuit je suis un arc en ciel
Aussi blanche que toutes les couleurs
Sur ma tombe un dégradé de fleurs
Mes hanches suivent le rythme de mon coeur
Je me déhanche sur un hymne au malheur
À aucun moment je n'oublie ce paradoxe du mois de mai
À tout instant je l'efface je passe secondes à t'aimer
L'univers est un monde fait de concepts binaires
L'amour et la peur dans mes poumons crachent l'air
Comme wejdene j'aurais aimé avoir seize ans
Je veux plus jamais être autre qu'une enfant
Dans la nuit je suis un arc en ciel
Aussi blanche que toutes les couleurs
Sur ma tombe un dégradé de fleurs
Mes hanches suivent le rythme de mon coeur
Je me déhanche sur un hymne au malheur
À aucun moment je n'oublie ce paradoxe du mois de mai
À tout instant je l'efface je passe secondes à t'aimer
L'univers est un monde fait de concepts binaires
L'amour et la peur dans mes poumons crachent l'air
Comme wejdene j'aurais aimé avoir seize ans
Je veux plus jamais être autre qu'une enfant
Je mange pas trop j'espère rétrécir et redevenir
C'est aux retrouvailles de ma pureté que je me sens partir
Je suis un cerf et mes cheveux sont fait de bois
Mon coeur de pierre m'émeut jusqu'à la foi
Les nuages le soir disparaissent alors qu'il sont là
Les rouages noirs de l'espèce s'accordent sur un la
Je suis majeure dns une symphonie est mineure
Le dur labeur de l'agonie me fait peur
Des philosophes et des rappeurs gravés sur mon tableau
Quelques mots d'amour hissés sur le mât de mon bâteau
C'est aux retrouvailles de ma pureté que je me sens partir
Je suis un cerf et mes cheveux sont fait de bois
Mon coeur de pierre m'émeut jusqu'à la foi
Les nuages le soir disparaissent alors qu'il sont là
Les rouages noirs de l'espèce s'accordent sur un la
Je suis majeure dns une symphonie est mineure
Le dur labeur de l'agonie me fait peur
Des philosophes et des rappeurs gravés sur mon tableau
Quelques mots d'amour hissés sur le mât de mon bâteau
De vieilles reliques débordent de ma chambre je peux plus marcher
On rembobine tout et on recommence vers le même après
Mon train déraille vers le beau
Ses blancs rails sur le chemin du faux
Des loopings c'est pas tellement la fête
Des boucles tout le temps dans ma tête
Parapente sans parachute
Je joue avec le levier de la catapulte
On rembobine tout et on recommence vers le même après
Mon train déraille vers le beau
Ses blancs rails sur le chemin du faux
Des loopings c'est pas tellement la fête
Des boucles tout le temps dans ma tête
Parapente sans parachute
Je joue avec le levier de la catapulte
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