Paroles de la chanson Joan Of Arc (Traduction) par Léonard Cohen
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Paroles de la chanson Joan Of Arc (Traduction) par Léonard Cohen
À présent les flammes ont suivi Jeanne d’Arc
Tandis qu’elle chevauchait dans la nuit,
Sans lune pour faire briller son armure,
Sans homme pour lui faire traverser cette nuit si enfumée
Elle a dit : “ Je suis lasse de la guerre,
Je désire retrouver mes travaux d’avant,
Une robe de mariée ou quelque chose de blanc
Pour vêtir mon appétit débordant.”
Ah ! je suis heureux de t’entendre parler ainsi…
Tu sais que je t’ai regardée chevaucher chaque jour,
Et quelque chose en moi aspire à gagner
Tandis qu’elle chevauchait dans la nuit,
Sans lune pour faire briller son armure,
Sans homme pour lui faire traverser cette nuit si enfumée
Elle a dit : “ Je suis lasse de la guerre,
Je désire retrouver mes travaux d’avant,
Une robe de mariée ou quelque chose de blanc
Pour vêtir mon appétit débordant.”
Ah ! je suis heureux de t’entendre parler ainsi…
Tu sais que je t’ai regardée chevaucher chaque jour,
Et quelque chose en moi aspire à gagner
Une héroïne aussi froide et solitaire.
“Et qui es-tu ?”, demanda-t-elle, l’air sévère,
À celui qui se tenait sous la fumée.
“Pourquoi ? Je suis feu”, répliqua-t-il,
“Et j’aime ta solitude, j’aime ton orgueil.”
“Alors, Feu, refroidit ton corps !
Je vais te donner le mien à tenir.”
Sur ces mots, elle est montée dans le brasier
Pour être sa seule et son unique épousée.
Et, tout au fond de son cœur embrasé,
Il a pris les cendres de Jeanne d’Arc,
Et elle a compris clairement, alors,
Que, s’il était le feu, elle, elle devait être le bois.
“Et qui es-tu ?”, demanda-t-elle, l’air sévère,
À celui qui se tenait sous la fumée.
“Pourquoi ? Je suis feu”, répliqua-t-il,
“Et j’aime ta solitude, j’aime ton orgueil.”
“Alors, Feu, refroidit ton corps !
Je vais te donner le mien à tenir.”
Sur ces mots, elle est montée dans le brasier
Pour être sa seule et son unique épousée.
Et, tout au fond de son cœur embrasé,
Il a pris les cendres de Jeanne d’Arc,
Et elle a compris clairement, alors,
Que, s’il était le feu, elle, elle devait être le bois.
Je l’ai vue grimacer, je l’ai vue pleurer,
J’ai vu briller la gloire dans son regard.
Et moi j’aspire à l’amour et à la lumière,
Mais doit-il être si cruel, doit-elle être si éblouissante ?
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