Paroles de la chanson Steer Your Way (Traduction) par Léonard Cohen
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Paroles de la chanson Steer Your Way (Traduction) par Léonard Cohen
Passe devant les ruines de l'église et du centre commercial
Navigue à travers l'histoire de la création et de la chute
Chemine le long des palais qui s'élèvent au-dessus de la pourriture
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Conduis ton cœur au-delà de ces vérités en lesquelles hier tu croyais
Telles que la bonté fondamentale, la sagesse de l'expérience
Conduis ton cœur, ton précieux cœur devant ces femmes que tu achetais
Navigue à travers l'histoire de la création et de la chute
Chemine le long des palais qui s'élèvent au-dessus de la pourriture
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Conduis ton cœur au-delà de ces vérités en lesquelles hier tu croyais
Telles que la bonté fondamentale, la sagesse de l'expérience
Conduis ton cœur, ton précieux cœur devant ces femmes que tu achetais
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Conduis ton cœur au-delà de la souffrance, bien plus réelle que toi
Cette souffrance qui a détruit le modèle cosmique, aveuglé tous les points de vue
Je t'en prie, ne m'oblige pas à aller là-bas, qu'il y ait un dieu ou pas
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Elles murmurent encore, ces pierres meurtries
Elles pleurent toujours, ces montagnes arrondies
Alors que lui est mort pour rendre les hommes pieux
Laisse-nous mourir pour que les choses soient dérisoires
Pensée après pensée
Conduis ton cœur au-delà de la souffrance, bien plus réelle que toi
Cette souffrance qui a détruit le modèle cosmique, aveuglé tous les points de vue
Je t'en prie, ne m'oblige pas à aller là-bas, qu'il y ait un dieu ou pas
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Elles murmurent encore, ces pierres meurtries
Elles pleurent toujours, ces montagnes arrondies
Alors que lui est mort pour rendre les hommes pieux
Laisse-nous mourir pour que les choses soient dérisoires
Et ce mea culpa que tu as sans doute oublié
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Chemine, oh mon cœur, même si je n'ai aucun droit de demander
À celui qui n'a jamais été à la hauteur de la tâche
Qui sait qu'il a été condamné, qui sait qu'il sera fusillé
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Elles murmurent encore, ces pierres meurtries
Elles pleurent toujours, ces montagnes arrondies
Alors que lui est mort pour rendre les hommes pieux
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Chemine, oh mon cœur, même si je n'ai aucun droit de demander
À celui qui n'a jamais été à la hauteur de la tâche
Qui sait qu'il a été condamné, qui sait qu'il sera fusillé
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Elles murmurent encore, ces pierres meurtries
Elles pleurent toujours, ces montagnes arrondies
Alors que lui est mort pour rendre les hommes pieux
Laisse-nous mourir pour que les choses soient dérisoires
Et ce mea culpa que tu as sans doute oublié
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
Et ce mea culpa que tu as sans doute oublié
Année après année, mois après mois, jour après jour
Pensée après pensée
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