Paroles de la chanson GRIFFITH par Leone
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Paroles de la chanson GRIFFITH par Leone
Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh
Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh
Ohhh, Ohhh, Ohhh, Ohhh, Ohhh
Oh,oh,oh,oh,ohhhh
Ah,Ah,Ah,Ah,Ahhhhhh
Tu vois le film comme un souvent où tout s'arrête
Les peines, la haine, les filles, le business, manque de fitness, je maigris
Touche ma ville ça peut partir pour une guerre sans fin
Les hommes sont parfois chanceux, mais chez nous c'est celui qui à faim
L'argent nous guide plus qu'hier, on fait des studs plus qu'hier
Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh, Mmmmh
Ohhh, Ohhh, Ohhh, Ohhh, Ohhh
Oh,oh,oh,oh,ohhhh
Ah,Ah,Ah,Ah,Ahhhhhh
Tu vois le film comme un souvent où tout s'arrête
Les peines, la haine, les filles, le business, manque de fitness, je maigris
Touche ma ville ça peut partir pour une guerre sans fin
Les hommes sont parfois chanceux, mais chez nous c'est celui qui à faim
L'argent nous guide plus qu'hier, on fait des studs plus qu'hier
Même qu'en je te mens, je vois le paradis dans tes bras
Viens on fonce si c'est niquel, manque de temps ça nous fait peur
Ils te disent qu'ils sont vrais, mais qui est qui vraiment ?
Pas d'humeur à leur pardonner, rancunier demande à ???
Je le ressens que tu t'éloignes de moi, faits divers j'y suis habitué
Des refrés qui vont cantiner, c'est risqué quand tout viens de loin
Sayais, Sayais, bebs j'ai pris mes couilles pour les poser dans l'arène
Sayais, Sayais, bebs je n'ai plus de doute les yeux rivés vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Viens on fonce si c'est niquel, manque de temps ça nous fait peur
Ils te disent qu'ils sont vrais, mais qui est qui vraiment ?
Pas d'humeur à leur pardonner, rancunier demande à ???
Je le ressens que tu t'éloignes de moi, faits divers j'y suis habitué
Des refrés qui vont cantiner, c'est risqué quand tout viens de loin
Sayais, Sayais, bebs j'ai pris mes couilles pour les poser dans l'arène
Sayais, Sayais, bebs je n'ai plus de doute les yeux rivés vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Sayais, Sayais, serein comme un pasteur les deux yeux vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Mille deux dans le compte je préfère chanter qu'on me dises quoi faire
Jeune noir dans une Bentley, je vois qu'ils m'envient
Je fonce dans le tas maman m'a béni
Dis moi quand je trouverais pour payer
Je mets du Prada pour m'embellir
Nah sheitan quand je rentre en soirée
A-Avec les mêmes depuis le 3010
Pour eux je monte sur la moto, et puis j'affronte dans le carré VIP, comme si je gagnais au loto
Mais-Mais j'ai trop faim, dis sur une asset je l'ai trop fais
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Mille deux dans le compte je préfère chanter qu'on me dises quoi faire
Jeune noir dans une Bentley, je vois qu'ils m'envient
Je fonce dans le tas maman m'a béni
Dis moi quand je trouverais pour payer
Je mets du Prada pour m'embellir
Nah sheitan quand je rentre en soirée
A-Avec les mêmes depuis le 3010
Pour eux je monte sur la moto, et puis j'affronte dans le carré VIP, comme si je gagnais au loto
Mais-Mais j'ai trop faim, dis sur une asset je l'ai trop fais
Le cœur est insensible d'vant ces fesses, je ne pense qu'a la rabatt pour un 20
Chuis tranquille, mais je voudrais les allumer mon peuple souffre, je maudis les colonies
Fuck si ça nique ma carrière, j'ai du mal quand le monde est coloré
Sayais, Sayais, bebs j'ai pris mes couilles pour les poser dans l'arène
Sayais, Sayais, bebs je n'ai plus de doute les yeux rivés vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Sayais, Sayais, serein comme un pasteur les deux yeux vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Mille deux dans le compte je préfère chanter qu'on me dises quoi faire
Chuis tranquille, mais je voudrais les allumer mon peuple souffre, je maudis les colonies
Fuck si ça nique ma carrière, j'ai du mal quand le monde est coloré
Sayais, Sayais, bebs j'ai pris mes couilles pour les poser dans l'arène
Sayais, Sayais, bebs je n'ai plus de doute les yeux rivés vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Sayais, Sayais, serein comme un pasteur les deux yeux vers le ciel
Sayais, Sayais, sacoche pleine de papiers je me sens mieux l'hiver
Mille deux dans le compte je préfère chanter qu'on me dises quoi faire
Jeune noir dans une Bentley, je vois qu'ils m'envient
C'est vous qui m'avez habitué à tout ça
C'est vous qui m'avez habitué à tout ça
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