Paroles de la chanson Ma Femme Est Morte par Les Frères Jacques
Auteurs: Jean Laroche,Pierre Garnot
Compositeurs: Domaine Public
Editeurs: Semi
Chanson manquante pour "Les Frères Jacques" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Ma Femme Est Morte"
Proposer une correction des paroles de "Ma Femme Est Morte"
Paroles de la chanson Ma Femme Est Morte par Les Frères Jacques
Jean, l'autre soir, montant son escalier,
Trouva sa femme étendue sur l'palier,
Voisins, ohé ! Ma femme est morte !
Venez, venez vite, venez vit' la chercher,
Sans quoi j'la fous derrièr' la porte,
Car c'était elle qui faisait le tapage à la maison,
Maintenant la poison, elle est morte !
Refrain :
Ell' ne mettra plus de l'eau dedans mon verre,
Car maintenant la poison elle est morte !
Puis Jean, gueulant, réveilla ses voisins,
Fit tant de potin qu'il vit lever Martin.
Ohé, Martin - Quoi qui n'y a ?
Trouva sa femme étendue sur l'palier,
Voisins, ohé ! Ma femme est morte !
Venez, venez vite, venez vit' la chercher,
Sans quoi j'la fous derrièr' la porte,
Car c'était elle qui faisait le tapage à la maison,
Maintenant la poison, elle est morte !
Refrain :
Ell' ne mettra plus de l'eau dedans mon verre,
Car maintenant la poison elle est morte !
Puis Jean, gueulant, réveilla ses voisins,
Fit tant de potin qu'il vit lever Martin.
Ohé, Martin - Quoi qui n'y a ?
Ma femme est morte,
Je vous paie la goutte à tous demain matin,
Si vous venez lui faire escorte.
Refrain
Puis moult oignons Jean s'en fut acheter,
Pour qu'en son deuil on le vit bien pleurer.
Ohé, fruitier ! - Voilà, voilà !
Ma femme est morte,
Donnez, donnez vite des oignons bien dorés,
Pour que je la pleure en la sorte.
Refrain
Puis Jean s'en fut réveiller le curé
Qui ronflait fort sous son bonnet carré.
Monsieur le Curé ! - Nom de Dieu, qu'est-ce qu'y'a ?
Je vous paie la goutte à tous demain matin,
Si vous venez lui faire escorte.
Refrain
Puis moult oignons Jean s'en fut acheter,
Pour qu'en son deuil on le vit bien pleurer.
Ohé, fruitier ! - Voilà, voilà !
Ma femme est morte,
Donnez, donnez vite des oignons bien dorés,
Pour que je la pleure en la sorte.
Refrain
Puis Jean s'en fut réveiller le curé
Qui ronflait fort sous son bonnet carré.
Monsieur le Curé ! - Nom de Dieu, qu'est-ce qu'y'a ?
Venez, venez vite lui dire vos oraisons,
Et puis que le diable l'emporte !
Refrain
Puis Jean s'en fut trouver le fossoyeur
Qui, dans une fosse, dormait à la fraîcheur.
Ohé, fossier ! Ma femme est morte.
Creusez, creusez vite un trou large et profond,
Afin que la garce n'en sorte.
Refrain
Auprès de sa femme Jean était retourné,
Mais la sale bête était ressuscitée !
Eh, mais ! Aglaé ! - Quoi qu'y n'y'a ?
Tu n'es pas morte ?
Elle répondit, le pispot à la main :
Et puis que le diable l'emporte !
Refrain
Puis Jean s'en fut trouver le fossoyeur
Qui, dans une fosse, dormait à la fraîcheur.
Ohé, fossier ! Ma femme est morte.
Creusez, creusez vite un trou large et profond,
Afin que la garce n'en sorte.
Refrain
Auprès de sa femme Jean était retourné,
Mais la sale bête était ressuscitée !
Eh, mais ! Aglaé ! - Quoi qu'y n'y'a ?
Tu n'es pas morte ?
Elle répondit, le pispot à la main :
Tiens ! v'là la tisane que j' t'apporte.
Refrain :
Et comme toujours je ferai le tapage à la maison,
Car, vois-tu, ta poison n'est pas morte,
Et je mettrai cette eau dedans ton verre,
Car maintenant ta poison n'est pas morte !
Refrain :
Et comme toujours je ferai le tapage à la maison,
Car, vois-tu, ta poison n'est pas morte,
Et je mettrai cette eau dedans ton verre,
Car maintenant ta poison n'est pas morte !
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)