Paroles de la chanson Mon Cul par Les Hurlements D'Léo
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Paroles de la chanson Mon Cul par Les Hurlements D'Léo
Il toucha une nouvelle fois les billes à travers le tissu de sa veste.
Tout contre lui sur sa poitrine
Ses jambes lui tiraient, son dos était comme percé de milles petites pointes
Cet argent qu'il portait sur son cœur
Il aurait préféré l'avoir dépensé
Il aurait moins mal
A présent, la nuit allait être longue mais il savait qu'il tiendrait
La nuit allait être longue, mais il savait qu'il tiendrait
Des plus grandes vestales, sans un piastre chancelant
Je regardais Ganelon et sa blanche jument
Tout contre lui sur sa poitrine
Ses jambes lui tiraient, son dos était comme percé de milles petites pointes
Cet argent qu'il portait sur son cœur
Il aurait préféré l'avoir dépensé
Il aurait moins mal
A présent, la nuit allait être longue mais il savait qu'il tiendrait
La nuit allait être longue, mais il savait qu'il tiendrait
Des plus grandes vestales, sans un piastre chancelant
Je regardais Ganelon et sa blanche jument
La colère pas peu fière et la rage en amont
De ces gars minuscules me narguaient gentiment
Je vais à la fenêtre et soudain je regrette, d'avoir tué Chimère et marié Ganelon
Des drôlesses exquises, aux maigres mamelons
Comme un fruit de banquise aux accents tropicaux
Je l'emporte dix fois sur un air de malice et m'arrête transi
Étouffé par le froid
Comme quand c'était encore vrai
Comme quand c'était encore vrai
On y rit moins
Alors on s'en va ou l'on reste
Et l'on ne dort plus... ou mal
Comme un funambule posé sur son fil ou plutôt pendu par les couilles
De ces gars minuscules me narguaient gentiment
Je vais à la fenêtre et soudain je regrette, d'avoir tué Chimère et marié Ganelon
Des drôlesses exquises, aux maigres mamelons
Comme un fruit de banquise aux accents tropicaux
Je l'emporte dix fois sur un air de malice et m'arrête transi
Étouffé par le froid
Comme quand c'était encore vrai
Comme quand c'était encore vrai
On y rit moins
Alors on s'en va ou l'on reste
Et l'on ne dort plus... ou mal
Comme un funambule posé sur son fil ou plutôt pendu par les couilles
Je n'ai plus de regrets ni même de méprise
Et cent fois trop aimé pour garder la raison
Et sous forme d'excuses, plus que de confessions
Qu'une dernière fois je m'use, sur cette sale chanson
Dont l'ultime blasphème, celui de laisser choir
Comme un vil gravier, cet habit dérisoire
Je crois si je n'm'abuse, qu'à la fin de l'histoire
Cette triste comptine s'éteint de ma mémoire
A présent, la nuit allait être longue mais il savait qu'il tiendrait
Son dos était comme percé de mille petites pointes
Ses jambes lui tirait, il aurait moins mal
T'aurais moins mal
Et cent fois trop aimé pour garder la raison
Et sous forme d'excuses, plus que de confessions
Qu'une dernière fois je m'use, sur cette sale chanson
Dont l'ultime blasphème, celui de laisser choir
Comme un vil gravier, cet habit dérisoire
Je crois si je n'm'abuse, qu'à la fin de l'histoire
Cette triste comptine s'éteint de ma mémoire
A présent, la nuit allait être longue mais il savait qu'il tiendrait
Son dos était comme percé de mille petites pointes
Ses jambes lui tirait, il aurait moins mal
T'aurais moins mal
Son dos
Son dos était comme percé de milles petites pointes
Son dos était comme percé de milles petites pointes
Pointes
Pointes
Pointes
Pointes...
Son dos était comme percé de milles petites pointes
Mon cul
Son dos était comme percé de milles petites pointes
Son dos était comme percé de milles petites pointes
Pointes
Pointes
Pointes
Pointes...
Son dos était comme percé de milles petites pointes
Mon cul
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