Paroles de la chanson Petite Société par Les Ogres De Barback
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Paroles de la chanson Petite Société par Les Ogres De Barback
Il y a des fantômes dans ma ville
Que dérangent les cris d'enfants
Qui trouvent le temps inutile
Si on le passe en s'amusant
Ils ont vue sur mon jardin
Et ils ont l'écho du son
Des barbecues, des copains
Si l’on sort l'accordéon
Oh ! Fantôme des villes nouvelles
Et de tes quartiers sans âme
De tes centres commerciaux sans ciel
De tes faux plafonds infâmes
Je m'enfuis pour une vie nouvelle
Où les marmots ne seront plus
Que dérangent les cris d'enfants
Qui trouvent le temps inutile
Si on le passe en s'amusant
Ils ont vue sur mon jardin
Et ils ont l'écho du son
Des barbecues, des copains
Si l’on sort l'accordéon
Oh ! Fantôme des villes nouvelles
Et de tes quartiers sans âme
De tes centres commerciaux sans ciel
De tes faux plafonds infâmes
Je m'enfuis pour une vie nouvelle
Où les marmots ne seront plus
Le prétexte d'une ribambelle
D’idées loufoques et corrompues
Et si tu pries gentiment
Tu nous juges et c'est méchant
Toi, qui nous avais appris pourtant
À ne pas perdre de temps
Oh ! Fantôme des idées "gratte ciel"
Ou doux rêveur dépassé
Tu voyais la grande citadelle
Le paradis dans les cités
Pierre, je ne jette pas la pierre
Je constate le gâchis
De petites maisons pas centenaires
Recouvertes de crépis
On fait du neuf avec du neuf
Ni une ni deux, le neuf est vieux
D’idées loufoques et corrompues
Et si tu pries gentiment
Tu nous juges et c'est méchant
Toi, qui nous avais appris pourtant
À ne pas perdre de temps
Oh ! Fantôme des idées "gratte ciel"
Ou doux rêveur dépassé
Tu voyais la grande citadelle
Le paradis dans les cités
Pierre, je ne jette pas la pierre
Je constate le gâchis
De petites maisons pas centenaires
Recouvertes de crépis
On fait du neuf avec du neuf
Ni une ni deux, le neuf est vieux
De ta loi qui marchande et qui bluffe
Nos âmes d'imbéciles heureux
Fantôme des quartiers résidentiels
Que n'as-tu pas profité
Tu vis la vie de moins en moins belle
Quand tout te pendait au nez
Pardonne-moi, ne prends pas tout cela
Comme une attaque trop sévère
Tu es un fantôme au cœur qui bat
Bien plus vivant que tes frères
Eux, qui ont tout dévoré
Tes premières idées, tes dernières
Sans jamais avoir su estimer
Tout ce qui leur était offert
Oh ! Fantôme des bourgs artificiels
Nos âmes d'imbéciles heureux
Fantôme des quartiers résidentiels
Que n'as-tu pas profité
Tu vis la vie de moins en moins belle
Quand tout te pendait au nez
Pardonne-moi, ne prends pas tout cela
Comme une attaque trop sévère
Tu es un fantôme au cœur qui bat
Bien plus vivant que tes frères
Eux, qui ont tout dévoré
Tes premières idées, tes dernières
Sans jamais avoir su estimer
Tout ce qui leur était offert
Oh ! Fantôme des bourgs artificiels
Ils ne t'ont jamais dit merci
Ils t'ont laissé te brûler les ailes
Ils s'en mordront les doigts aussi
Oh ! Fantôme des villes nouvelles
On se recroisera sûr’ment
Dans ma vie bientôt devenue belle
Près de mon village des vents !
Ils t'ont laissé te brûler les ailes
Ils s'en mordront les doigts aussi
Oh ! Fantôme des villes nouvelles
On se recroisera sûr’ment
Dans ma vie bientôt devenue belle
Près de mon village des vents !
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