Paroles de la chanson Chez Dubourg, le joaillier par Les Parapluies de Cherbourg
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Paroles de la chanson Chez Dubourg, le joaillier par Les Parapluies de Cherbourg
Dubourg :
Quelle beauté ! Une pure merveille !
Cassard : N’est-ce pas ?
Dubourg :
C’est une pierre de taille !
Si vous me permettez l’expression.
Cassard :
Voici quelques rubis, saphyres, émeraudes.
Dubourg :
C’est la caverne d’Ali Baba !
Cassard :
Quelle beauté ! Une pure merveille !
Cassard : N’est-ce pas ?
Dubourg :
C’est une pierre de taille !
Si vous me permettez l’expression.
Cassard :
Voici quelques rubis, saphyres, émeraudes.
Dubourg :
C’est la caverne d’Ali Baba !
Cassard :
La parure de la Belle au bois dormant ...
Dubourg :
Bonjour, Madame Émery !
Bonjour, Mademoiselle Geneviève !
Mme Émery : Bonjour, Monsieur Dubourg !
Dubourg : Vous permettez ?
Cassard : Je vous en prie.
Dubourg :
Mademoiselle est devenue une bien jolie jeune fille.
Il y a si longtemps que je n’avais eu le plaisir !
Mais que puis-je faire pour vous ?
Dubourg :
Bonjour, Madame Émery !
Bonjour, Mademoiselle Geneviève !
Mme Émery : Bonjour, Monsieur Dubourg !
Dubourg : Vous permettez ?
Cassard : Je vous en prie.
Dubourg :
Mademoiselle est devenue une bien jolie jeune fille.
Il y a si longtemps que je n’avais eu le plaisir !
Mais que puis-je faire pour vous ?
Vous pouvez parler sans craintes.
Mme Émery :
Nous sommes dans une situation difficile.
Geneviève est grande et m’aide de son mieux.
Elle n’est pas en cause, mais j’ai de lourdes charges et j’ai pensé ... enfin ...
Je dois faire face à une échéance dont les conséquences risquent fort de nous compromettre et je viens vers vous comme on vient au messie.
Dubourg : Madame.
Mme Émery :
J’ai hésité longtemps et Geneviève, qui est la sagesse et la raison même, m’a décidée.
C’est la mort dans l’âme1 que je me vois contrainte de me défaire de ce bijou qui pour moi représente ...
Mme Émery :
Nous sommes dans une situation difficile.
Geneviève est grande et m’aide de son mieux.
Elle n’est pas en cause, mais j’ai de lourdes charges et j’ai pensé ... enfin ...
Je dois faire face à une échéance dont les conséquences risquent fort de nous compromettre et je viens vers vous comme on vient au messie.
Dubourg : Madame.
Mme Émery :
J’ai hésité longtemps et Geneviève, qui est la sagesse et la raison même, m’a décidée.
C’est la mort dans l’âme1 que je me vois contrainte de me défaire de ce bijou qui pour moi représente ...
Dubourg :
Je vous comprend, chère madame, mais mon métier comporte des risques et j’en prend déjà beaucoup.
Au mieux, je puis mettre votre collier en vente.
Et encore, à une somme bien inférieure à sa valeur réelle.
Je ne puis acheter moi-même ...
Mme Émery :
Ne pourriez-vous au moins m’avancer ...
Dubourg :
Rien, je vous l’ai dit, nous ne pouvons rien !
Geneviève : N’insiste pas, maman.
Cassard :
Excusez-moi, mais ce bijou m’interresse.
Je l’achète.
Je puis vous tirer de ce mauvais pas.
Permettez-moi de me présenter : Roland Cassard, diamantaire.
Mme Émery : Mais Monsieur !
Cassard :
Non, rassurez-vous Madame !
Je ne fais pas de philantropie.
Je placerai facilement ce collier à Paris ou à Londres, ou mes affaires m’appellent fréquemment.
Mme Émery : Je ne sais si je dois ...
Excusez-moi, mais ce bijou m’interresse.
Je l’achète.
Je puis vous tirer de ce mauvais pas.
Permettez-moi de me présenter : Roland Cassard, diamantaire.
Mme Émery : Mais Monsieur !
Cassard :
Non, rassurez-vous Madame !
Je ne fais pas de philantropie.
Je placerai facilement ce collier à Paris ou à Londres, ou mes affaires m’appellent fréquemment.
Mme Émery : Je ne sais si je dois ...
Cassard :
Ne vous moquez pas de moi.
Mme Émery :
Je suis honteuse et en même temps ravie !
Cassard :
Je n’ai pas cet argent sur moi.
Je puis vous faire un chèque.
Mme Émery :
Rien ne presse !
Voulez-vous passer demain au magasin Les Parapluies de Cherbourg ?
J’y suis toujours.
Cassard : À demain !
Ne vous moquez pas de moi.
Mme Émery :
Je suis honteuse et en même temps ravie !
Cassard :
Je n’ai pas cet argent sur moi.
Je puis vous faire un chèque.
Mme Émery :
Rien ne presse !
Voulez-vous passer demain au magasin Les Parapluies de Cherbourg ?
J’y suis toujours.
Cassard : À demain !
Mme Émery : À demain !
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