Paroles de la chanson Jean-René par Les VRP
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Paroles de la chanson Jean-René par Les VRP
Il se prénommait Jean-René
Travaillait aux chemins de fer
Faisait des trous dans des billets
Sur le trajet Brest/Quimper
Son père était marin breton
Il fut élevé dans la sardine
Un de ces courageux garçons
Que l'on fait dans la marine
Il n'eut pas d'chance dans l'existence
Il était moche gros et petit
Mais un jour il fit connaissance
D'une fille encore plus laide que lui
Elle était brave et gentillette
Travaillait aux chemins de fer
Faisait des trous dans des billets
Sur le trajet Brest/Quimper
Son père était marin breton
Il fut élevé dans la sardine
Un de ces courageux garçons
Que l'on fait dans la marine
Il n'eut pas d'chance dans l'existence
Il était moche gros et petit
Mais un jour il fit connaissance
D'une fille encore plus laide que lui
Elle était brave et gentillette
Mais sa bêtise était de taille
Un peu du genre à s'couer la tête
Quand on lui donne un éventail
Six mois plus tard ils eurent une fille
Qui ne fut pas un prix Nobel
Mais qui était vraiment utile
Le soir pour descendre la poubelle
Elle n'eut pas d'chance dans l'existence
Elle était moche grosse et petite
Mais un jour elle fit connaissance
D'un homme qui avait une grosse... automobile !
La fille s'enfuit faire son bonheur
Sans un au revoir à sa maman
Oubliant son métier d'éboueur
Aucun scrupule, c'est répugnant !
Un peu du genre à s'couer la tête
Quand on lui donne un éventail
Six mois plus tard ils eurent une fille
Qui ne fut pas un prix Nobel
Mais qui était vraiment utile
Le soir pour descendre la poubelle
Elle n'eut pas d'chance dans l'existence
Elle était moche grosse et petite
Mais un jour elle fit connaissance
D'un homme qui avait une grosse... automobile !
La fille s'enfuit faire son bonheur
Sans un au revoir à sa maman
Oubliant son métier d'éboueur
Aucun scrupule, c'est répugnant !
Pour son papa ce fut l'horreur
Sa fille partie c'était trop dur
Il fallut installer sur l'heure
Dans la cuisine un vide-ordures
Malgré tout ça notre Jean-René
Prit quand même son travail à cœur
Et dans un joli TGV
Il fut nommé chef contrôleur
Un jour il glissa sous un train
Et on l'amputa des deux mains
Sa femme lâchement l'a quitté
Pour ne pas vivre à ses crochets (x5)
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