Paroles de la chanson 14/18 par Lionel Suarez
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Paroles de la chanson 14/18 par Lionel Suarez
Il était des fleurs
Était une voix
Étaient des collines
Il en fut des pleurs
Un bel arrosoir
Et une orpheline
Il était les cons
Il était les chiens
Il était des loups
Il en fut de bons
Il n’en reste rien
Reste que des clous
Il était quatorze
Et puis quinze et seize
Était une voix
Étaient des collines
Il en fut des pleurs
Un bel arrosoir
Et une orpheline
Il était les cons
Il était les chiens
Il était des loups
Il en fut de bons
Il n’en reste rien
Reste que des clous
Il était quatorze
Et puis quinze et seize
Il était dix-huit
Il était des roses
Dans le Père Lachaise
Il était la suite
Il était des dames
Bleues sur le chemin
Prêtes aux baisers
Il ne fut que flamme
Que ventre carmin
Qu’oubli et nausée
Il était des anges
Mourus pour l’histoire
Couverts de mérites
Ils étaient étranges
Ils étaient bizarres
Et bouffés aux mites
Il était des roses
Dans le Père Lachaise
Il était la suite
Il était des dames
Bleues sur le chemin
Prêtes aux baisers
Il ne fut que flamme
Que ventre carmin
Qu’oubli et nausée
Il était des anges
Mourus pour l’histoire
Couverts de mérites
Ils étaient étranges
Ils étaient bizarres
Et bouffés aux mites
Il était l’hiver
Et des étés froids
L’oreiller la taie
L’endroit et l’envers
Le doux la paroi
L’espoir de la paix
Pis après la balle
La plaie qu’on recoud
Il fut l’armistice
Et ce fut le bal
La médaille au cou
Et l’os qu’on ratisse
Y a une seconde
Il était grand-père
C’était un matin
Il était un monde
Un grand cimetière
Un monde orphelin
Un grand cimetière
Un monde orphelin
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