Paroles de la chanson Désastre par Lofofora
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Paroles de la chanson Désastre par Lofofora
Dans la glace, endormis, les corps de mes ennemis
Reviennent encore souvent attiser mon tourment
Et si ils font semblant, à la fonte des glaces
Je coulerai du ciment que d'autres les remplacent
Quand viendra le moment, en lieu et en place
Ils verront comment mon souffle les terrasse.
Cet océan vide et blanc
Me ravit, m'enlève
Un sentiment si troublant
Comme la vie est brève
Je sais lire le présent qui file entre vos lèvres
Et devient plus pesant quand monte la fièvre.
Moi qui trouve bizarre que l'on tende la main
Reviennent encore souvent attiser mon tourment
Et si ils font semblant, à la fonte des glaces
Je coulerai du ciment que d'autres les remplacent
Quand viendra le moment, en lieu et en place
Ils verront comment mon souffle les terrasse.
Cet océan vide et blanc
Me ravit, m'enlève
Un sentiment si troublant
Comme la vie est brève
Je sais lire le présent qui file entre vos lèvres
Et devient plus pesant quand monte la fièvre.
Moi qui trouve bizarre que l'on tende la main
Qui ne laisse au hasard jamais l'ombre de rien
Par une nuit de blizzard j'ai perdu mon chemin
Fait glisser mon rasoir sur le bord du ravin.
Chaque soir j'y reviens enivré par ce vent
Qui attise ma faim et vous givre le sang
Je viens sonner le départ pour la nuit des temps
C'est vrai je m'y prépare déjà depuis longtemps
Vous êtes si détestables à ne rien vouloir comprendre
Jusqu'au grand désastre il n'y a plus rien à attendre
Cet océan vide et blanc
Me ravit, m'enlève
Un sentiment si troublant
Comme la vie est brève
Je sais lire le présent qui file entre vos lèvres
Par une nuit de blizzard j'ai perdu mon chemin
Fait glisser mon rasoir sur le bord du ravin.
Chaque soir j'y reviens enivré par ce vent
Qui attise ma faim et vous givre le sang
Je viens sonner le départ pour la nuit des temps
C'est vrai je m'y prépare déjà depuis longtemps
Vous êtes si détestables à ne rien vouloir comprendre
Jusqu'au grand désastre il n'y a plus rien à attendre
Cet océan vide et blanc
Me ravit, m'enlève
Un sentiment si troublant
Comme la vie est brève
Je sais lire le présent qui file entre vos lèvres
Et devient plus pesant quand monte la fièvre.
Comme la vie est brève.
Juger dénigrer, vous savez
Jurer ricaner, vous savez
Exiger condamner, vous savez
Continuer à avaler, haaaa ! vous savez
Ça vous savez !
Comme la vie est brève.
Juger dénigrer, vous savez
Jurer ricaner, vous savez
Exiger condamner, vous savez
Continuer à avaler, haaaa ! vous savez
Ça vous savez !
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