Paroles de la chanson Hora Du Dibbouk par Loïc Lantoine
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Paroles de la chanson Hora Du Dibbouk par Loïc Lantoine
Regardez-moi mes frères je danse encore je danse
Ma femme ne pleure plus, je reviens des enfers
Appelle donc tes sœurs, je frappe la cadence
Je serais mort en vain, si tu ne chantes pas hier
Mes enfants soyez forts, la vie est un combat
Aujourd’hui c’est la fête, attrapez-vous les mains
Hurlez jusqu’à l’espoir qui n’entend presque pas
Mes petits aimez-vous, battez-vous pour demain
Mes amis, écoutez, a noël pour la mort
Buvez ce vin pour moi, je n’oublie pas le goût
Dites à mon assassin je ne meurs pas je dors
La vie m’a tabassé, prenez grand soin de vous
Et regardez-moi mes frères, je danse et je n’existe plus
Ma femme ne pleure plus, je reviens des enfers
Appelle donc tes sœurs, je frappe la cadence
Je serais mort en vain, si tu ne chantes pas hier
Mes enfants soyez forts, la vie est un combat
Aujourd’hui c’est la fête, attrapez-vous les mains
Hurlez jusqu’à l’espoir qui n’entend presque pas
Mes petits aimez-vous, battez-vous pour demain
Mes amis, écoutez, a noël pour la mort
Buvez ce vin pour moi, je n’oublie pas le goût
Dites à mon assassin je ne meurs pas je dors
La vie m’a tabassé, prenez grand soin de vous
Et regardez-moi mes frères, je danse et je n’existe plus
Regardez moi mes frères je danse aussi, je danse
Femme tu ne m’entends pas, réveille ton sourire
Reviens baiser mon cou quand le matin s’élance
Même à genou je danse, je ne veux pas mourir
Les enfants écoutez votre père qui vous aime
Regardez comme je saigne, inventez vous la vie
Et soyez fier de vous, pas de chef que vous même
Vous ne me voyez plus , faites chanter vos envies
Mes amis, braves hommes, aujourd’hui j’abandonne
Le monde était trop fort, la vie était méchante
Criez de mes erreurs que vos voix barytonnent
Et rendez à ce monde une beauté éclatante
Et regardez moi, je danse mais je n’existe pas
Regardez moi mes frères, je danse, bientôt je danse
Femme tu ne m’entends pas, réveille ton sourire
Reviens baiser mon cou quand le matin s’élance
Même à genou je danse, je ne veux pas mourir
Les enfants écoutez votre père qui vous aime
Regardez comme je saigne, inventez vous la vie
Et soyez fier de vous, pas de chef que vous même
Vous ne me voyez plus , faites chanter vos envies
Mes amis, braves hommes, aujourd’hui j’abandonne
Le monde était trop fort, la vie était méchante
Criez de mes erreurs que vos voix barytonnent
Et rendez à ce monde une beauté éclatante
Et regardez moi, je danse mais je n’existe pas
Regardez moi mes frères, je danse, bientôt je danse
Ma femme, je t’arrive, on s’aimera bien vite
On parle bonheur en se touchant des lèvres
Mon amour, pour la route
Le futur vient vite
Les enfants dans l’avenir ne soyez pas très sage
Père et sa vieille guerre, vous construirez demain
La table sera grande pour mélanger les âges
Le monde sera votre ou il ne sert à rien
Les amis de tous temps et faites les bagages
On ne part pas on plante un arbre de victoire
Fumez, buvez, dansez, le courage au visage
Demain on s’entraide, c’est le temps de l’espoir
Regardez-moi mes frères je danse et j’existe bientôt
On parle bonheur en se touchant des lèvres
Mon amour, pour la route
Le futur vient vite
Les enfants dans l’avenir ne soyez pas très sage
Père et sa vieille guerre, vous construirez demain
La table sera grande pour mélanger les âges
Le monde sera votre ou il ne sert à rien
Les amis de tous temps et faites les bagages
On ne part pas on plante un arbre de victoire
Fumez, buvez, dansez, le courage au visage
Demain on s’entraide, c’est le temps de l’espoir
Regardez-moi mes frères je danse et j’existe bientôt
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