Paroles de la chanson L'eau Thermale par Loïc Lantoine
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Paroles de la chanson L'eau Thermale par Loïc Lantoine
Ou tu t'emmerdes ou tu vis vite.
À vingt ans le vie fait du vent,
Passé quarante on bouche les fuites,
On devine le bout du devant.
Et la vie on lui fait sa fête,
Moi je voudrais pas qu'elle me quitte.
Vilain amant je la maltraite
Comme on s'aime je cure, je cuite
Va doux et vois le paysage
A compter les feuilles arbre par arbre,
Mais sans sueur sur le visage.
Quand ta monture aimée se cabre.
Où s'en va coucher la folie ?
Quand on délice de rosir,
Et à quoi pense le joli
À vingt ans le vie fait du vent,
Passé quarante on bouche les fuites,
On devine le bout du devant.
Et la vie on lui fait sa fête,
Moi je voudrais pas qu'elle me quitte.
Vilain amant je la maltraite
Comme on s'aime je cure, je cuite
Va doux et vois le paysage
A compter les feuilles arbre par arbre,
Mais sans sueur sur le visage.
Quand ta monture aimée se cabre.
Où s'en va coucher la folie ?
Quand on délice de rosir,
Et à quoi pense le joli
Quand les loups hurlent de plaisir ?
Avec l'eau thermale, avec le pinard t'es mort
Mais c'est à l'hôpital que la vie nous met dehors
Vivre à grands pas, à grands délire,
Ou prendre le temps du délice.
Tout massacrer à coup de rires,
Ou faire un fils qu'aura des fils.
Démonter les murs brique à brique,
Regarder le cul du derrière
Ou moquer tranquillement le fric,
En laissant mousser les barrières
Le corps est seulement fragile,
la pensée a mille chemins,
Est-ce l'ancre ou le projectile
Avec l'eau thermale, avec le pinard t'es mort
Mais c'est à l'hôpital que la vie nous met dehors
Vivre à grands pas, à grands délire,
Ou prendre le temps du délice.
Tout massacrer à coup de rires,
Ou faire un fils qu'aura des fils.
Démonter les murs brique à brique,
Regarder le cul du derrière
Ou moquer tranquillement le fric,
En laissant mousser les barrières
Le corps est seulement fragile,
la pensée a mille chemins,
Est-ce l'ancre ou le projectile
Qui parlera fier d'hier demain ?
On est plein dans un seul bonhomme,
On échoit au pied de nos choix.
Il y a que les cons qui tiennent la gomme,
Tout le monde veut mourir de joie.
Avec l'eau thermale, avec le pinard t'es mort
Mais c'est à l'hôpital que la vie nous met dehors
Et je pense à ce frangin pur
Qu'a cassé les freins au virage
Dans la rage que son amour dure
Son carnaval et ses mirages.
Alors traînons quand vient le diable
Pour laisser les amours fleurir,
Quand des verres cassés sur la table
Nous rappellent qu'il n'y a pas de pire.
On est plein dans un seul bonhomme,
On échoit au pied de nos choix.
Il y a que les cons qui tiennent la gomme,
Tout le monde veut mourir de joie.
Avec l'eau thermale, avec le pinard t'es mort
Mais c'est à l'hôpital que la vie nous met dehors
Et je pense à ce frangin pur
Qu'a cassé les freins au virage
Dans la rage que son amour dure
Son carnaval et ses mirages.
Alors traînons quand vient le diable
Pour laisser les amours fleurir,
Quand des verres cassés sur la table
Nous rappellent qu'il n'y a pas de pire.
Avec l'eau thermale, avec le pinard t'es mort
Mais c'est à l'hôpital que la vie nous met dehors
Laissons cet étrange mélange
Couler dans le rythme du sang,
On peut bien cabosser un ange
Et dire je t'aime à sa maman
Amis, arrive la question :
Comment vivre sans vrais dommages ?
On aura pas la solution,
Il faut trafiquer le chauffage.
Avec l'eau thermale, avec le pinard t'es mort
Mais c'est à l'hôpital que la vie nous met dehors
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