Paroles de la chanson Le Temps Me Pousse par Loic Leproust
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Paroles de la chanson Le Temps Me Pousse par Loic Leproust
Au musées rêves perdus
J'ai légué toute ma jeunesse
Pour avoir bien trop attendu
Sur ma porte une princesse
Au musée des rêves mal connus
J'ai donné toute mon ardeur
Mais le temps n'a pas entretenu
Tous les sentiments du cœur
Au musée des rêves défendus
J'ai offert mon corps et mon âme
Pour avoir déposé sur ta peau nue
Tout l'amour dû à une femme
Mais le temps me pousse au lendemain
J'ai légué toute ma jeunesse
Pour avoir bien trop attendu
Sur ma porte une princesse
Au musée des rêves mal connus
J'ai donné toute mon ardeur
Mais le temps n'a pas entretenu
Tous les sentiments du cœur
Au musée des rêves défendus
J'ai offert mon corps et mon âme
Pour avoir déposé sur ta peau nue
Tout l'amour dû à une femme
Mais le temps me pousse au lendemain
Qui s'éloigne à grandes enjambées
Pour me faire passer les chemins
Que je n'ai pas pu emprunter
Au théâtre des vies mouvementés
J'y ai loué une de ses loge
Pour pouvoir voir d'un peu plus prés
Tous ceux qui depuis y patauge
Au théâtre des vie à succès
Moi aussi je voulais une place
Mais je ne serai jamais privilégié
J'ai pas assez d'audace
Au théâtre des vies à pleurer
Les sentiers sont trop encombrés
Pour que je me laisse entrainer
Dans l'abîme des abandonnés
Pour me faire passer les chemins
Que je n'ai pas pu emprunter
Au théâtre des vies mouvementés
J'y ai loué une de ses loge
Pour pouvoir voir d'un peu plus prés
Tous ceux qui depuis y patauge
Au théâtre des vie à succès
Moi aussi je voulais une place
Mais je ne serai jamais privilégié
J'ai pas assez d'audace
Au théâtre des vies à pleurer
Les sentiers sont trop encombrés
Pour que je me laisse entrainer
Dans l'abîme des abandonnés
Mais le temps me pousse au lendemain
Qui s'éloigne à grandes enjambées
Pour me faire passer les chemins
Que je n'ai pas pu emprunter
Au douceur de l'amour éternel
J'évoluais tel un enfant
Parce que toi tu étais la plus belle
Je me pris pour un Don Juan
Au douceur de l'amour irréel
Tout devenait diabolique
Lorsque je vivais sous ton ciel
Ma vie paraissait magnifique
Au douceur de l'amour surnaturel
Le voyage y était grandiose
La beauté de la tourterelle
Prés de toi était peu de chose
Mais le temps me pousse au lendemain
Qui s'éloigne à grandes enjambées
Pour me faire passer les chemins
Que je n'ai pas pu emprunter
Prés de toi était peu de chose
Mais le temps me pousse au lendemain
Qui s'éloigne à grandes enjambées
Pour me faire passer les chemins
Que je n'ai pas pu emprunter
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