Paroles de la chanson Monotone par Loic Leproust
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Paroles de la chanson Monotone par Loic Leproust
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Lentement, mais surement
Baladé de tourments en tourments
Moi je plonge dans l'ennui
Dans le train-train de la vie
Monotone, monotone
Comme une cloche qui sonne
Je suis le diable, je suis un ange
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Lentement, mais surement
Baladé de tourments en tourments
Moi je plonge dans l'ennui
Dans le train-train de la vie
Monotone, monotone
Comme une cloche qui sonne
Je suis le diable, je suis un ange
Je suis le fou qui dérange
Je remue dans tous les sens
Pour faire croire à mon indépendance
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Complexé sans envergure
Bien trop dingue pour faire bonne mesure
Moi je plane le nez au monde
Comme un satellite ou une sonde
Monotone, monotone
Je remue dans tous les sens
Pour faire croire à mon indépendance
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Complexé sans envergure
Bien trop dingue pour faire bonne mesure
Moi je plane le nez au monde
Comme un satellite ou une sonde
Monotone, monotone
Comme l'histoire d'une pauvre nonne
Je m'écraserai face contre terre
Pour disparaître dans la poussière
Vendu pour un chapelet
Pour la vie d'une divinité
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Désinvolte sans passion
Mon amour à des frissons
Moi je tremble face à la lumière
Je m'écraserai face contre terre
Pour disparaître dans la poussière
Vendu pour un chapelet
Pour la vie d'une divinité
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Désinvolte sans passion
Mon amour à des frissons
Moi je tremble face à la lumière
Quand la peur raisonne comme un coup de tonnerre
Monotone, monotone
Seule la vie frissonne
Comme un Don Quichotte
Je me jette dans les ombres pâlottes
Puis je parts le nez au vent
Avec mon cœur battant
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
Monotone, monotone
Seule la vie frissonne
Comme un Don Quichotte
Je me jette dans les ombres pâlottes
Puis je parts le nez au vent
Avec mon cœur battant
Elle ne dira rien
Mais je vois très bien
Toute sa douleur
J'entends ses silences
J'écoute sa souffrance
Quand elle pleure
Je lui apporte le réconfort
A mes heures
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