Paroles de la chanson La Colombe par Lombre

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Paroles de la chanson La Colombe par Lombre

La colombe vole
Elle s'est échappée ce matin
Loin des poussières de la nuit, loin de son chagrin
Elle a pris la décision de quitter sa cage pour vivre de sa magie, contempler le paysage
D'un souffle furtif elle s'en est allée
Elle a quitté sa captivité aussi vite qu'elle l'y était rentré
Elle n'a rien dit en partant mais son regard parlait de lui même, un sourire, de l'espoir et plus rien n'interfère
Elle a trop souvent du obéir à leurs règles
Elle, qui n'avait pourtant aucune raison de le faire, libre là-haut sans plus aucun compte à rendre, seule contre le vent en osmose avant le temps

Elle qui est pourtant si frêle, si fragile mais si belle
Elle, qui est l'auteur de si beaux poèmes

C'était la goutte de trop, ou peut être la première
D'un nouveau verre d'une nouvelle vie, d'un nouveau rêve
Un cycle nouveau, c'est ce qu'on peut lire dans ses yeux
Elle, qui n'avait peur, ni de l'eau ni du feu

C'était la goutte de trop, ou peut être la première
D'un nouveau verre, d'une nouvelle vie, d'un nouveau rêve
Un cycle nouveau, c'est ce qu'on peut lire dans ses yeux

Elle, qui n'avait peur ni de l'eau ni du feu

Elle n'a rien pris en partant car rien lui semblait utile
Seule avec son âme parce que le reste est futile
Voler vers l'essentiel sans que plus rien ne soit limite
Elle s'laisse guider par son fluide, non loin de sa vie idyllique
Elle n'a pourtant peur de rien, laissant ses doutes
L'instant d'après elle vise tellement le sommet que la chute elle l'a jamais envisagé
La discorde l'a déjà frappé quand elle a perdu sa mère
Elle s'est relevée de cette défaite, immense, comme une guerrière
Depuis, elle n'a jamais pleuré sur son sort

Elle, qui paraît si forte aux yeux des autres mais, si elle est si sûre d'elle c'est grâce a son passé
Sans ça elle n'aurai jamais imaginer s'échapper
Mais si elle est si sûre d'elle c'est grâce à son passé
Sans ça elle n'aurait jamais imaginer s'échapper

C'était la goutte de trop, ou peut être la première
D'un nouveau verre, d'une nouvelle vie, d'un nouveau rêve
Un cycle nouveau, c'est ce qu'on peut lire dans ses yeux
Elle, qui n'avait peur, ni de l'eau ni du feu

C'était la goutte de trop, ou peut être la première
D'un nouveau verre, d'une nouvelle vie, d'un nouveau rêve
Un cycle nouveau, c'est ce qu'on peut lire dans ses yeux
Elle qui n'avait peur, ni de l'eau ni du feu

Aujourd'hui, la voilà épanouie
Riche de son périple, loin des imbéciles
L'orage est si loin d'elle à présent avec du recul elle se dit que tout du sens
Aussi libre qu'est la vie elle s'évade au loin
Quand elle respire son alchimie elle devient invincible
Rien ne pourra la faire chuter entre ces deux falaises
Elle voit les hommes de là haut, elle se rend compte par elle même de la chance que l'on a de pouvoir semer nos graines

Libre de sens, envoûtée de je t'aime
Quand la colombe guéri le soleil nous éblouira
Quand nos corps seront ivres de joie on renaîtra
Parce que cette colombe vole sur nous et réveille en permanence
Elle prône le fait de s'élever à chaque échéance
Parfois, il suffit de peu pour déclencher l'avalanche
Parfois il suffit de peu pour déclencher l'avalanche

C'était la goutte de trop, ou peut être la première
D'un nouveau verre, d'une nouvelle vie, d'un nouveau rêve
Un cycle nouveau, c'est ce qu'on peut lire dans ses yeux

Elle, qui n'avait peur, ni de l'eau ni du feu

C'était la goutte de trop, ou peut être la première
D'un nouveau verre, d'une nouvelle vie, d'un nouveau rêve
Un cycle nouveau, c'est ce qu'on peut lire dans ses yeux
Elle, qui n'avait peur, ni de l'eau ni du feu

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