Paroles de la chanson Comme deux étoiles par Lonepsi
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Paroles de la chanson Comme deux étoiles par Lonepsi
Pour se voir on devait attendre la nuit
On était finalement comme deux étoiles
La tombé du jour était par conséquent le moment que l'on préférait
Chaque instant était preste et véloce et venait contredire l'éternel
Pour se voir on devait attendre la nuit
On était finalement comme deux étoiles
C'est comme un au secours serein, je fais encore ce rêve
Ou ton joli corps serait prudemment incarceré
Par cœur serré, car c'est réel.
Au fond de tes yeux je vois encore ces ruelles
Celles qu'on arpentait pour revenir chez soi
(l'odeur de l'été me revient tout à coup)
On était finalement comme deux étoiles
La tombé du jour était par conséquent le moment que l'on préférait
Chaque instant était preste et véloce et venait contredire l'éternel
Pour se voir on devait attendre la nuit
On était finalement comme deux étoiles
C'est comme un au secours serein, je fais encore ce rêve
Ou ton joli corps serait prudemment incarceré
Par cœur serré, car c'est réel.
Au fond de tes yeux je vois encore ces ruelles
Celles qu'on arpentait pour revenir chez soi
(l'odeur de l'été me revient tout à coup)
Arrivés en haut de la colline on avait soif
Les étoiles nous remplissait l'âme goutte à goutte
J'aurais souhaité que cette vue soit un tableau et nous dur plus d'un voyage
Une peinture qui comme une vague s’achèverait par une incroyable noyade
Mes cheveux dans l'herbe et les tiens prés de mon torse
Je ne t'ai jamais vue si loyale
Lorsque j'en bois trop, tous les chemins me mènent à toi
Mais tu demeure à jamais injoignable.
Pour se voir on devait attendre la nuit
On était finalement comme deux étoiles
La tombé du jour était par conséquent le moment que l'on préférait
Les étoiles nous remplissait l'âme goutte à goutte
J'aurais souhaité que cette vue soit un tableau et nous dur plus d'un voyage
Une peinture qui comme une vague s’achèverait par une incroyable noyade
Mes cheveux dans l'herbe et les tiens prés de mon torse
Je ne t'ai jamais vue si loyale
Lorsque j'en bois trop, tous les chemins me mènent à toi
Mais tu demeure à jamais injoignable.
Pour se voir on devait attendre la nuit
On était finalement comme deux étoiles
La tombé du jour était par conséquent le moment que l'on préférait
Chaque instant était preste et véloce et venait contredire l'éternel
La lune éclairait ton visage et déshabillait tes énigmes
Elle auscultait nos pensés, mélangeait nos corps et nos esprits
On questionnait les astres en se demandant l'intitulé de leur histoire
Pourquoi ces étoiles n'ont pas laissé le pouvoir au ciel de devenir noir
La tombé du jour était par conséquent le moment que l'on préférait
Chaque instant était preste et véloce, et venait contredire l'éternel
La lune éclairait ton visage et déshabillait tes énigmes
Elle auscultait nos pensés, mélangeait nos corps et nos esprits
On questionnait les astres en se demandant l'intitulé de leur histoire
Pourquoi ces étoiles n'ont pas laissé le pouvoir au ciel de devenir noir
La tombé du jour était par conséquent le moment que l'on préférait
Chaque instant était preste et véloce, et venait contredire l'éternel
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