Paroles de la chanson La fille du bus par Lonepsi
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Paroles de la chanson La fille du bus par Lonepsi
Quand elle rentre dans le bus, ce n'est pas un individu.
Cette fille est une variation de l'air, une infinitude.
Une atmosphère en plus, une population à elle seule.
Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule.
L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.
Faut pas qu'elle redescende, j'pourrai pas renaître de mes cendres.
Il y a des heures qu'on nous enlève, qu'on nous dérobe.
La vie un poison, la passion comme unique sérum.
Cette fille est une variation de l'air, une infinitude.
Une atmosphère en plus, une population à elle seule.
Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule.
L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.
Faut pas qu'elle redescende, j'pourrai pas renaître de mes cendres.
Il y a des heures qu'on nous enlève, qu'on nous dérobe.
La vie un poison, la passion comme unique sérum.
Acteur d'un mode de vie qui demande sans arrêt de fournir des efforts.
Je n'ai pas la permission de me reposer, sinon je ne connaîtrai jamais mon essor.
Illuminé par un lampadaire et le soleil qui vient de se coucher,
Je pars de chez moi, tout en espérant qu'un jour mes paroles pourront les toucher.
Assis au fond d'un bus, j'ai pris un ticket sans arrêt.
La tête contre la vitre, je ne pense à rien, je l'admets.
Tout d'un coup une fille monte, nos regards ne se croiseront jamais.
J'ai pris de quoi écrire, et puis je l'ai décrit dans mon carnet :
Je n'ai pas la permission de me reposer, sinon je ne connaîtrai jamais mon essor.
Illuminé par un lampadaire et le soleil qui vient de se coucher,
Je pars de chez moi, tout en espérant qu'un jour mes paroles pourront les toucher.
Assis au fond d'un bus, j'ai pris un ticket sans arrêt.
La tête contre la vitre, je ne pense à rien, je l'admets.
Tout d'un coup une fille monte, nos regards ne se croiseront jamais.
J'ai pris de quoi écrire, et puis je l'ai décrit dans mon carnet :
Il y a la nuit dans le regard de cette fille,
Elle me laisse sceptique.
Je ne connais pas bien son histoire comme Shakespeare,
Mais moi je m'en fous tant que demeure la rêverie.
Elle me donne le vertige.
C'est comme si tout d'un coup j'étais asservi,
Elle n'avait pas de peine et paraissait sans merci.
Quand elle rentre dans le bus, ce n'est pas un individu.
Cette fille est une variation de l'air, une infinitude.
Une atmosphère en plus, une population à elle seule.
Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule.
Elle me laisse sceptique.
Je ne connais pas bien son histoire comme Shakespeare,
Mais moi je m'en fous tant que demeure la rêverie.
Elle me donne le vertige.
C'est comme si tout d'un coup j'étais asservi,
Elle n'avait pas de peine et paraissait sans merci.
Quand elle rentre dans le bus, ce n'est pas un individu.
Cette fille est une variation de l'air, une infinitude.
Une atmosphère en plus, une population à elle seule.
Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule.
L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.
Faut pas qu'elle redescende, j'pourrai pas renaître de mes cendres.
Elle avait les yeux brillants,
Les cheveux bruns, et elle
S'est bien débrouillée
Pour que mon cœur soit broyé.
Certains la draguaient,
Mais moi je la traquais.
J'étais comme drogué,
Je n'avais plus de tracas.
Puis quand elle est descendue, j'ai tout oublié d'un trait.
Victime d'amnésie, comme pour se souvenir d'un rêve.
C'est comme si j'avais trébuché sur son absence.
Faut pas qu'elle redescende, j'pourrai pas renaître de mes cendres.
Elle avait les yeux brillants,
Les cheveux bruns, et elle
S'est bien débrouillée
Pour que mon cœur soit broyé.
Certains la draguaient,
Mais moi je la traquais.
J'étais comme drogué,
Je n'avais plus de tracas.
Puis quand elle est descendue, j'ai tout oublié d'un trait.
Victime d'amnésie, comme pour se souvenir d'un rêve.
C'est comme si j'avais trébuché sur son absence.
Et, elle s'en allait loin de moi, comme si je n'avais rien d'essentiel.
Quand elle rentre dans le bus, ce n'est pas un individu.
Cette fille est une variation de l'air, une infinitude.
Une atmosphère en plus, une population à elle seule.
Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule.
L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.
Faut pas qu'elle redescende, j'pourrai pas renaître de mes cendres.
Quand elle rentre dans le bus, ce n'est pas un individu.
Cette fille est une variation de l'air, une infinitude.
Une atmosphère en plus, une population à elle seule.
Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule.
L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.
Faut pas qu'elle redescende, j'pourrai pas renaître de mes cendres.
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