Paroles de la chanson Vol au dessus d'un nid de coucou par Lord Esperanza
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Paroles de la chanson Vol au dessus d'un nid de coucou par Lord Esperanza
Il y a comme un mal-être
Un sentiment de solitude
Comme une envie de rester moi-même
Jusqu’à ce que toute cette folie m’tue
Comme une étreinte gravée sur un drapeau noir
Comme un rejet sociétal tout au fond de l’entonnoir
Comme un extrait de vie, comme un rideau d’apparence
Comme un appel paternel qui s’manifeste qu’une fois par an
Comme un besoin d’tout quitter
Comme un mépris quand ton nom finit par ‘’Déjà quitté‘’
Comme un ‘’Je sais déjà qui t’es‘’, comme un air dépité
Un sentiment de solitude
Comme une envie de rester moi-même
Jusqu’à ce que toute cette folie m’tue
Comme une étreinte gravée sur un drapeau noir
Comme un rejet sociétal tout au fond de l’entonnoir
Comme un extrait de vie, comme un rideau d’apparence
Comme un appel paternel qui s’manifeste qu’une fois par an
Comme un besoin d’tout quitter
Comme un mépris quand ton nom finit par ‘’Déjà quitté‘’
Comme un ‘’Je sais déjà qui t’es‘’, comme un air dépité
Devant le manque d’équité
Comme un arrêt au port
Comme une silhouette embrasée au milieu de l’aéroport
Comme une odeur de chloroforme
Pour plaire aux formats…
Comme un Bush connard
Tu s’ras jamais qui tu veux être
Mais t’sais il y a plus trop de normes
Comme un clochard sous Moët
T’façon j’peux rien changer
J’suis qu’un putain de poète
Putain de poète, ouais ouais, putain de poète
Comme une absence sous absinthe
Comme une jalousie maladive
Comme une absence sous absinthe
Comme une jalousie maladive
Comme un arrêt au port
Comme une silhouette embrasée au milieu de l’aéroport
Comme une odeur de chloroforme
Pour plaire aux formats…
Comme un Bush connard
Tu s’ras jamais qui tu veux être
Mais t’sais il y a plus trop de normes
Comme un clochard sous Moët
T’façon j’peux rien changer
J’suis qu’un putain de poète
Putain de poète, ouais ouais, putain de poète
Comme une absence sous absinthe
Comme une jalousie maladive
Comme une absence sous absinthe
Comme une jalousie maladive
Comme un semblant de découverte
Quand sont j’tés des ‘’Gars, qui t’es ?‘’
Comme un filtre opaque qui nous sépare et nous détruit
Comme le goût d’la déception :
L’argent détruit le cœur d’autrui
Comme un buvard chez Nick qui t’absorbe
Comme une absence sous absinthe
Comme des visages hantés écrasés sur des téléphones
Comme une âme un peu … équipée qui paye les frais
Comme un cœur nanana qui fait l’effort
Comme un regard méprisant qui régit toutes les relations
Quand sont j’tés des ‘’Gars, qui t’es ?‘’
Comme un filtre opaque qui nous sépare et nous détruit
Comme le goût d’la déception :
L’argent détruit le cœur d’autrui
Comme un buvard chez Nick qui t’absorbe
Comme une absence sous absinthe
Comme des visages hantés écrasés sur des téléphones
Comme une âme un peu … équipée qui paye les frais
Comme un cœur nanana qui fait l’effort
Comme un regard méprisant qui régit toutes les relations
Comme un sentiment lui vite dénoué de toute coloration
J’trouve des réponses, j’pose des questions
J’me pose des questions, j’me pose des réponses
J’y trouve des questions, j’y pose des réponses
J’y trouve des questions…
Combien d’amis ai-je perdus
Combien d’amis ai-je perdus
Combien d’amis ai-je perdus
Combien d’amis ai-je perdus
Comme une absence sous absinthe
Comme une absence sous absinthe
Merde j’suis qu’un poète
Merde j’suis qu’un poète
Putain j’suis qu’un poète
J’trouve des réponses, j’pose des questions
J’me pose des questions, j’me pose des réponses
J’y trouve des questions, j’y pose des réponses
J’y trouve des questions…
Combien d’amis ai-je perdus
Combien d’amis ai-je perdus
Combien d’amis ai-je perdus
Combien d’amis ai-je perdus
Comme une absence sous absinthe
Comme une absence sous absinthe
Merde j’suis qu’un poète
Merde j’suis qu’un poète
Putain j’suis qu’un poète
Loin de moi l’idée de ne t’aimer qu’un temps
Je n’allais pas bipper dans les sets détendants
Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre
Tous appellent la même quand les doutes appellent une autre
Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre
Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre
Je relie tes taches de rousseur comme des constellations
Dire que le monde est à ceux qui ont mangé la poussière
Comme un arrêt au port…
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