Paroles de la chanson Dernier Cri par Louis Capart
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Paroles de la chanson Dernier Cri par Louis Capart
Je n'ai pas choisi
D'en faire un métier
Ce sont des milliers d'amis
Qui m'ont dit de chanter
Me donnant ma chance
Ils m'ont libéré
Des radios de grande audience
Où j'étais censuré.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
D'en faire un métier
Ce sont des milliers d'amis
Qui m'ont dit de chanter
Me donnant ma chance
Ils m'ont libéré
Des radios de grande audience
Où j'étais censuré.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
Volant mon sommeil
Sans ménagement
La mode surveille
Et m'impose son règlement
Une nouveauté
Toujours attendue
Pourrait étonner
Tous ceux qui ont tout entendu.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
A frapper dans les mains
Pour changer.
Volant mon sommeil
Sans ménagement
La mode surveille
Et m'impose son règlement
Une nouveauté
Toujours attendue
Pourrait étonner
Tous ceux qui ont tout entendu.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
Pas de chanson triste
Il faut oublier
Y compris dans la "Play-List"
Un chant de qualité
Sans la poésie
L'Art est dépassé
C'est l'auditeur qui choisit
Ce qu'on a décidé.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
Pas de chanson triste
Il faut oublier
Y compris dans la "Play-List"
Un chant de qualité
Sans la poésie
L'Art est dépassé
C'est l'auditeur qui choisit
Ce qu'on a décidé.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
La belle écriture
Semble condamnée
Au profit de lois obscures
D'intérêts financiers
Notre beau langage
Déjà moribond
Se préserve du naufrage
En comptant ses chansons.
J'avais tant de mots
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
La belle écriture
Semble condamnée
Au profit de lois obscures
D'intérêts financiers
Notre beau langage
Déjà moribond
Se préserve du naufrage
En comptant ses chansons.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
J'aurais dû ranger
Mes petits couplets
Et m'en retourner
Gentiment sur d'autres projets
Mais en vérité
Chacun son chemin
On fait différents métiers
Et moi je fais le mien.
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
J'aurais dû ranger
Mes petits couplets
Et m'en retourner
Gentiment sur d'autres projets
Mais en vérité
Chacun son chemin
On fait différents métiers
Et moi je fais le mien.
J'avais tant de mots
A vous raconter
On me demande
Des rythmes nouveaux
Pour danser
J'avais des refrains
A vous composer
Mais on demande
A frapper dans les mains
Pour changer.
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