Paroles de la chanson L'homme Qui Te Ressemble par Louis Capart
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Paroles de la chanson L'homme Qui Te Ressemble par Louis Capart
Tu as fait plus long chemin
Que moi me montrant mon destin
Moi je n'ai fait qu'engager mes pas dans les tiens
Tout inspiré de ta vie
Fort de tes souvenirs aussi
Je t'ai suivi, mon père, mon meilleur ami.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
Aux mêmes envies je fais vibrer ma vie
Vers le même avenir je me sens vieillir.
J'étais enfant d'ouvrier
Voudrais-je un moment l'oublier
Qu'il faudrait effacer tant de belles années
Que moi me montrant mon destin
Moi je n'ai fait qu'engager mes pas dans les tiens
Tout inspiré de ta vie
Fort de tes souvenirs aussi
Je t'ai suivi, mon père, mon meilleur ami.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
Aux mêmes envies je fais vibrer ma vie
Vers le même avenir je me sens vieillir.
J'étais enfant d'ouvrier
Voudrais-je un moment l'oublier
Qu'il faudrait effacer tant de belles années
J'ai grandi tu te souviens
Entre ta parole et ton pain
Tout jeune encor je pouvais tenir dans tes mains.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
Je rêve d'un monde où nous serons heureux
Le poing levé même quand nous serons vieux.
Tu racontais des histoires
Les enfants ont si peur du noir
J'ai tout appris de l'homme avec toi chaque soir
J'ai rencontré des amis
Sans jamais sortir de mon lit
Ce petit monde me quittait tout endormi.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
Entre ta parole et ton pain
Tout jeune encor je pouvais tenir dans tes mains.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
Je rêve d'un monde où nous serons heureux
Le poing levé même quand nous serons vieux.
Tu racontais des histoires
Les enfants ont si peur du noir
J'ai tout appris de l'homme avec toi chaque soir
J'ai rencontré des amis
Sans jamais sortir de mon lit
Ce petit monde me quittait tout endormi.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
Mais quand vient la nuit même encore aujourd'hui
Je n'ose nous dire arrêtons de vieillir.
J'ai condamné ta patience
En voulant cueillir notre chance
Comme le fruit défendu de tes espérances.
J'ai voulu changer le prix
Que certains donnaient à la vie
Des braves gens, ceux qui travaillent, ceux qu'on oublie.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
J'ai vécu la jeunesse qui nous sépare
Comme toi serrant les poings vingt ans plus tard.
Mon père il reste du temps
Pour d'autres merveilleux moments
Je n'ose nous dire arrêtons de vieillir.
J'ai condamné ta patience
En voulant cueillir notre chance
Comme le fruit défendu de tes espérances.
J'ai voulu changer le prix
Que certains donnaient à la vie
Des braves gens, ceux qui travaillent, ceux qu'on oublie.
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
J'ai vécu la jeunesse qui nous sépare
Comme toi serrant les poings vingt ans plus tard.
Mon père il reste du temps
Pour d'autres merveilleux moments
Que nous partagerons d'abord en t'écoutant
Vois ce que tu m'as donné
Même Aragon je l'ai gardé
Quand ma vie se confond aux chansons de Ferré
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
L' Amitié commence de grandes vacances
Et si tu m'attends tout sera comme avant (x2)
Vois ce que tu m'as donné
Même Aragon je l'ai gardé
Quand ma vie se confond aux chansons de Ferré
Je ne suis plus un enfant depuis longtemps
Je suis l'homme qui te ressemble à présent
L' Amitié commence de grandes vacances
Et si tu m'attends tout sera comme avant (x2)
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