Paroles de la chanson Les Roses par Louis Delort
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Paroles de la chanson Les Roses par Louis Delort
Au fond de la cathédrale
Dans la dernière pièce ouverte
Il y a ce petit étal
Cette fragile desserte
Le soleil s'y régale
Et se mue en arc-en-ciel
En infiltrant le vitrail
Bariolant l'atmosphère
Et l'on peut voir des roses
On peut effleurer leurs pétales
Ca semble peu de choses
Ca peut vous être égal
Mais j'aime voir ces roses
Dans la dernière pièce ouverte
Il y a ce petit étal
Cette fragile desserte
Le soleil s'y régale
Et se mue en arc-en-ciel
En infiltrant le vitrail
Bariolant l'atmosphère
Et l'on peut voir des roses
On peut effleurer leurs pétales
Ca semble peu de choses
Ca peut vous être égal
Mais j'aime voir ces roses
Car quand la lumière s'y attarde
Les couleurs qui s'imposent
Viennent attendrir mon âme
Les jours où je me sens sale
Mon coeur trainé dans la boue
J'arpente la cathédrale
Je cherche comme un fou
Ces roses qui me sont vitales
Et qui m'aident à me tenir debout
Dans une vie létale
Dans le feu de mes doutes
Car pour moi c'est crucial
De voir le beau en chacun de vous
Et si demain nous accable
Aujourd'hui ne tient qu'à nous
Les couleurs qui s'imposent
Viennent attendrir mon âme
Les jours où je me sens sale
Mon coeur trainé dans la boue
J'arpente la cathédrale
Je cherche comme un fou
Ces roses qui me sont vitales
Et qui m'aident à me tenir debout
Dans une vie létale
Dans le feu de mes doutes
Car pour moi c'est crucial
De voir le beau en chacun de vous
Et si demain nous accable
Aujourd'hui ne tient qu'à nous
Des fois je me fais tu mal
Je voudrais que la terre explose
Devant vous je détale
Cloué par mes névroses
Alors j'emprunte ce dédale
Je vais m'acquitter d'une dose
Dans la paix de cette salle
Où je contemple les roses
Tout redevient normal
Mes peurs se métamorphosent
Ces fleurs me sont loyales
Elle savent trouver les mots
Et quand viendra le jour
Où au fond de la cathédrale
Sur le petit étal
Je voudrais que la terre explose
Devant vous je détale
Cloué par mes névroses
Alors j'emprunte ce dédale
Je vais m'acquitter d'une dose
Dans la paix de cette salle
Où je contemple les roses
Tout redevient normal
Mes peurs se métamorphosent
Ces fleurs me sont loyales
Elle savent trouver les mots
Et quand viendra le jour
Où au fond de la cathédrale
Sur le petit étal
Meure le dernier pétale
Je viendrai sans détour
Porter le plus bel assemblage
De ces roses d'amour
Que je déposerai sur une dalle
Pour que vive toujours
L'image qui traverse mon âme
Et que peut-être à son tour
Un autre y attise sa flamme
Ce serait l'apothéose
Créant le plus fort des alliages
Si on se partageait les roses
Et qu'on enterrait nos rages
Je viendrai sans détour
Porter le plus bel assemblage
De ces roses d'amour
Que je déposerai sur une dalle
Pour que vive toujours
L'image qui traverse mon âme
Et que peut-être à son tour
Un autre y attise sa flamme
Ce serait l'apothéose
Créant le plus fort des alliages
Si on se partageait les roses
Et qu'on enterrait nos rages
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