Paroles de la chanson Le coeur en téflon par Louis-Jean Cormier
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Paroles de la chanson Le coeur en téflon par Louis-Jean Cormier
C’est dans le fond d’une bouteille,
qu’aujourd’hui je me réveille, j’ai dû perdre pied
j’ai beau crier à tue-tête
que c’est ici que j’arrête
pas le moindre écho d’un ami proche, le cœur en téflon
pu rien dans les poches, une main sur le front
et l’autre qui s’accroche au bout d’un crayon
dans une lampe de pioche, j’ai coupé les ponts
et je rentre de désert en désert
aucune parcelle d’idées claires, les clous dans les tempes
qu’aujourd’hui je me réveille, j’ai dû perdre pied
j’ai beau crier à tue-tête
que c’est ici que j’arrête
pas le moindre écho d’un ami proche, le cœur en téflon
pu rien dans les poches, une main sur le front
et l’autre qui s’accroche au bout d’un crayon
dans une lampe de pioche, j’ai coupé les ponts
et je rentre de désert en désert
aucune parcelle d’idées claires, les clous dans les tempes
la gorge en éponge, la tête en cap de roche
dans une escalade de mensonges
pas le moindre écho d’un ami proche, le cœur en téflon
pu rien dans les poches, une main sur le front
et l’autre qui s’accroche au bout d’un crayon
dans une lampe de pioche, j’ai pété les plombs…
si je colle mes yeux sur le verre vert je vois au travers un vieux film en noir et blanc
dans lequel je marche sur un fil de fer traversant la grande bouche d’un volcan
dans le ciel de cendre un escadron de vautours me retourne des cris de mort qui cassent les dents
si seulement je pouvais m’en défaire sans replonger dedans….
dans une escalade de mensonges
pas le moindre écho d’un ami proche, le cœur en téflon
pu rien dans les poches, une main sur le front
et l’autre qui s’accroche au bout d’un crayon
dans une lampe de pioche, j’ai pété les plombs…
si je colle mes yeux sur le verre vert je vois au travers un vieux film en noir et blanc
dans lequel je marche sur un fil de fer traversant la grande bouche d’un volcan
dans le ciel de cendre un escadron de vautours me retourne des cris de mort qui cassent les dents
si seulement je pouvais m’en défaire sans replonger dedans….
pas le moindre écho d’un ami proche, le cœur en téflon
dans une lampe de pioche, j’ai coupé les ponts
mais aujourd’hui je lance ma bouteille à la mer
peut-être une dernière chance avant le prochain verre
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