Paroles de la chanson Claudia par Louis Ville
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Paroles de la chanson Claudia par Louis Ville
Après tout, après rien, je regarde autrement
Les hivers, les printemps, à venir et présents.
Après toutes ces splendeurs, électrocardiogrammes,
Animés, volcaniques qui chaviraient le temps,
Après avoir bouffé d’l’idéal du musqué
D’la révolte rougeoyante, de l’exotique nacré
Après avoir tant vu l’homme prédestiné
À une vie somptueuse, …, bah j’en suis revenu
Après avoir souffert des premières illusions
C’que la vie m’était chère, j’étais un papillon
Les hivers, les printemps, à venir et présents.
Après toutes ces splendeurs, électrocardiogrammes,
Animés, volcaniques qui chaviraient le temps,
Après avoir bouffé d’l’idéal du musqué
D’la révolte rougeoyante, de l’exotique nacré
Après avoir tant vu l’homme prédestiné
À une vie somptueuse, …, bah j’en suis revenu
Après avoir souffert des premières illusions
C’que la vie m’était chère, j’étais un papillon
Butinant sans relâche toutes les fleurs des moissons,
Trépignant d’impatience à chaque morne saison.
Et je m’en suis donné, dieu que j’en ai donné
Du bon temps et du sang, et voilà maintenant
Que j’érige comme je baille, enchaînant sans relâche
Des amours virtuels qui m’essoufflent et me lassent.
Ma Claudia, mon fantasme, nous avons tant vécu,
Ma jeunesse inondant, tes jardins suspendus
Ma Claudia je m’emmerde, je crois qu’on m’a volé
Les parfums exhalés de nos amours déchus
Après avoir tant cru l’homme prédestiné
Trépignant d’impatience à chaque morne saison.
Et je m’en suis donné, dieu que j’en ai donné
Du bon temps et du sang, et voilà maintenant
Que j’érige comme je baille, enchaînant sans relâche
Des amours virtuels qui m’essoufflent et me lassent.
Ma Claudia, mon fantasme, nous avons tant vécu,
Ma jeunesse inondant, tes jardins suspendus
Ma Claudia je m’emmerde, je crois qu’on m’a volé
Les parfums exhalés de nos amours déchus
Après avoir tant cru l’homme prédestiné
À une vie somptueuse, …, bah j’en suis revenu
Et je pisse comme je pleure et maint’nant Brel m’emmerde
À m’avoir tant donné de la chiale et du leurre
Et cette brume revisite ma lame si fière naguère
Qui gonflait de mon sang, qui gonflait mon orgueil.
Et je ne gonfle plus, je ne dirige plus rien,
Dirigeable je fus, baudruche je deviens.
Et des hommes je n’aurai, qu’un souv’nir fugace
Mais de toi ma Claudia de partir ça me glace
Après avoir tant cru passer ma vie à tes côtés
Et je pisse comme je pleure et maint’nant Brel m’emmerde
À m’avoir tant donné de la chiale et du leurre
Et cette brume revisite ma lame si fière naguère
Qui gonflait de mon sang, qui gonflait mon orgueil.
Et je ne gonfle plus, je ne dirige plus rien,
Dirigeable je fus, baudruche je deviens.
Et des hommes je n’aurai, qu’un souv’nir fugace
Mais de toi ma Claudia de partir ça me glace
Après avoir tant cru passer ma vie à tes côtés
Ma Claudia, je rêvais et j’en suis revenu.
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