Paroles de la chanson Ma Rue par Louis Ville
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Paroles de la chanson Ma Rue par Louis Ville
Je vous parle de ma rue,
Cette rue qui m’a vu naître
Une longue longue rue
Toute bordée de hêtres
Il y a le boulanger
Toujours sourire aux lèvres
Qui se fend d’un salut
Salut petit Louis
Et puis le vieux Joseph
Qui nous fait voyager
De ballades en forêts
En histoires merveilleuses
Et puis y’a le coiffeur
Qui inspire la terreur
C’est notre croque mitaine
Cette rue qui m’a vu naître
Une longue longue rue
Toute bordée de hêtres
Il y a le boulanger
Toujours sourire aux lèvres
Qui se fend d’un salut
Salut petit Louis
Et puis le vieux Joseph
Qui nous fait voyager
De ballades en forêts
En histoires merveilleuses
Et puis y’a le coiffeur
Qui inspire la terreur
C’est notre croque mitaine
Celui qui vous fait peur
Avec mon p’tit vélo
Les cheveux au vent
Je descends cette rue
Insouciant et heureux
Je vous parle de ma rue.
Tous ces gens qui feignassent
Sur les grandes terrasses
Sirotant leurs boissons
Ça jacasse, ça jacasse
Une rue pleine de vie
Où tout le monde sourit
Je les vois survivant
Et moi, je suis vivant
Et puis voilà Marcel
Avec mon p’tit vélo
Les cheveux au vent
Je descends cette rue
Insouciant et heureux
Je vous parle de ma rue.
Tous ces gens qui feignassent
Sur les grandes terrasses
Sirotant leurs boissons
Ça jacasse, ça jacasse
Une rue pleine de vie
Où tout le monde sourit
Je les vois survivant
Et moi, je suis vivant
Et puis voilà Marcel
Et puis vivement ce soir
Et qu’il nous ensorcelle
Avec ses vieilles histoires
Et cette petite gare
Crachant son flot d’mineurs
Après le dur labeur
Regagnant leurs demeures
Avec mon p’tit vélo
Les cheveux au vent
Je descends cette rue
Insouciant et heureux.
Je vous parle de ma rue
Oscar le boucher
Le tablier plein d’sang
Posant comme un faisan
Qui cache sa biture
Et qu’il nous ensorcelle
Avec ses vieilles histoires
Et cette petite gare
Crachant son flot d’mineurs
Après le dur labeur
Regagnant leurs demeures
Avec mon p’tit vélo
Les cheveux au vent
Je descends cette rue
Insouciant et heureux.
Je vous parle de ma rue
Oscar le boucher
Le tablier plein d’sang
Posant comme un faisan
Qui cache sa biture
P’tit Didier et ses fruits
Toujours de bonne humeur
La voix cassée par les
« Qu’ils sont beaux mes kiwis »
Alfred le cantonnier
Qui après sa journée
Va toujours se saouler
Dans estaminet
Et puis surtout y’a Jeanne
Des fleurs plein les mains
Qui jamais ne se fane
Ma rosée du matin
Et moi je l’aime ma Jeanne
Et moi je l’aime ma rue
Avec mon p’tit vélo
Toujours de bonne humeur
La voix cassée par les
« Qu’ils sont beaux mes kiwis »
Alfred le cantonnier
Qui après sa journée
Va toujours se saouler
Dans estaminet
Et puis surtout y’a Jeanne
Des fleurs plein les mains
Qui jamais ne se fane
Ma rosée du matin
Et moi je l’aime ma Jeanne
Et moi je l’aime ma rue
Avec mon p’tit vélo
Les cheveux au vent
Je descends cette rue
Insouciant et heureux
Je vous parle de ma rue.
Moi je l’aime ma rue
Cette rue qui m’a vu naître
Une longue longue rue
Toute bordée de hêtre.
Je descends cette rue
Insouciant et heureux
Je vous parle de ma rue.
Moi je l’aime ma rue
Cette rue qui m’a vu naître
Une longue longue rue
Toute bordée de hêtre.
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