Paroles de la chanson Monsieur le président (Traduction) par Lounes Matoub
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Paroles de la chanson Monsieur le président (Traduction) par Lounes Matoub
Jour maudit que le jour où je naquis,
Dans la main serrant mon noeud de tourments
Afin qu'ils ne lâchent pas leur étreinte.
Mon coeur, que n'est-il jeune pousse !
Je le jetterais au brasier
Afin de ne plus souffrir ses plaintes,
Mais c'est sous mon corps qu'il s'ensevelit:
Force m'est de le rassasier de rêves,
Puisqu'il ne m'offre, lui, qu'insomnie.
Vous avez controuvé ma vie, dérobé ma jeunesse,
J'ai payé ce que je n'ai pas acheté.
Vous m'avez arraché aux miens,
Anéanti toutes mes espérances.
Le malheur a irrigué mes os;
Dans la main serrant mon noeud de tourments
Afin qu'ils ne lâchent pas leur étreinte.
Mon coeur, que n'est-il jeune pousse !
Je le jetterais au brasier
Afin de ne plus souffrir ses plaintes,
Mais c'est sous mon corps qu'il s'ensevelit:
Force m'est de le rassasier de rêves,
Puisqu'il ne m'offre, lui, qu'insomnie.
Vous avez controuvé ma vie, dérobé ma jeunesse,
J'ai payé ce que je n'ai pas acheté.
Vous m'avez arraché aux miens,
Anéanti toutes mes espérances.
Le malheur a irrigué mes os;
Avant que la mort sur moi se pose,
L'amertume que mon coeur amassa,
De ma langue, je la balaierai.
Si, par bonheur, je pouvais fuir
Et à l'Aïd aller vous... !
Je viendrai vous visiter,
Parents que j'aime tant.
Dans la clarté vous apparaissant,
Votre trouble ne me surprendra pas.
Ce n'est pas le visage de mon départ,
Que vos yeux reconnaîtront.
Lui non plus ne me reconnaissant pas,
Mon fils effrayé me fuira.
Quant à ma digne femme,
Se souviendra-t-elle même de moi ?
Je troublerai leurs tâches quotidiennes,
L'amertume que mon coeur amassa,
De ma langue, je la balaierai.
Si, par bonheur, je pouvais fuir
Et à l'Aïd aller vous... !
Je viendrai vous visiter,
Parents que j'aime tant.
Dans la clarté vous apparaissant,
Votre trouble ne me surprendra pas.
Ce n'est pas le visage de mon départ,
Que vos yeux reconnaîtront.
Lui non plus ne me reconnaissant pas,
Mon fils effrayé me fuira.
Quant à ma digne femme,
Se souviendra-t-elle même de moi ?
Je troublerai leurs tâches quotidiennes,
Ils en perdront la parole.
Puis nous étant tous retrouvés,
Le village vers moi accourt.
Tout ceci est illusion de l'espoir,
Ma rêverie est bien courte.
L'adversité a changé mon nom.
Contre l'amulette des malheurs;
La porte de la geôle sur moi se referme,
Sur laquelle mon sort s'inscrit:
« Tu as signé, soumets-toi ! »
« A vie ! » : tel est ton châtiment.
Puis nous étant tous retrouvés,
Le village vers moi accourt.
Tout ceci est illusion de l'espoir,
Ma rêverie est bien courte.
L'adversité a changé mon nom.
Contre l'amulette des malheurs;
La porte de la geôle sur moi se referme,
Sur laquelle mon sort s'inscrit:
« Tu as signé, soumets-toi ! »
« A vie ! » : tel est ton châtiment.
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