Paroles de la chanson Kilomètres par Lpee
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Paroles de la chanson Kilomètres par Lpee
Yeah
Hey
Malgré qu'elle tienne une branche d'olivier dans le bec, la colombe pleure
Les balles sifflent et quand les cris font rage, on s'endort comme on peut
Le ciel se grise, les visages se griment, les rapaces se griffent
Et ce brasier me consume à tout p'tit feu comme la clope que j'grille, gros
J'ai laissé des traces de sang dans mon sillage, dû escalader bon nombre de grilles
Alors je prie à chaque jour que dieu fait pour être épargné
Même si l'avenir ne sera qu'les retombées de notre gaspillage, gros
Hey
Malgré qu'elle tienne une branche d'olivier dans le bec, la colombe pleure
Les balles sifflent et quand les cris font rage, on s'endort comme on peut
Le ciel se grise, les visages se griment, les rapaces se griffent
Et ce brasier me consume à tout p'tit feu comme la clope que j'grille, gros
J'ai laissé des traces de sang dans mon sillage, dû escalader bon nombre de grilles
Alors je prie à chaque jour que dieu fait pour être épargné
Même si l'avenir ne sera qu'les retombées de notre gaspillage, gros
J'ai passé des nuits à rapper dans ma chambre
A devoir cacher mes cahiers quand mon père arrivait dans ma chambre
J'continuerai tant qu'ça m'chante, j'm'en bas les couilles, j'tente ma chance
Tu veux qu'j'arrête pas qu'je ralentisse, tire dans la tête, pas dans la jambe
J'ai repris la musique 'vec Lucien et Marcel
J'ai vu des gens s'l'approprier, preuve que la souffrance est universelle
J'pense à toutes ces âmes qu'on r'jette, qui se renferment et qui meurent seules
Quand bien même je trouve la paix, j'ai quelques démons qui m'harcèlent
J'me r'connais pas dans les codes
Deux-dix-neuf, un jeune se pointe et rentre 'vec une arme dans l'école
A devoir cacher mes cahiers quand mon père arrivait dans ma chambre
J'continuerai tant qu'ça m'chante, j'm'en bas les couilles, j'tente ma chance
Tu veux qu'j'arrête pas qu'je ralentisse, tire dans la tête, pas dans la jambe
J'ai repris la musique 'vec Lucien et Marcel
J'ai vu des gens s'l'approprier, preuve que la souffrance est universelle
J'pense à toutes ces âmes qu'on r'jette, qui se renferment et qui meurent seules
Quand bien même je trouve la paix, j'ai quelques démons qui m'harcèlent
J'me r'connais pas dans les codes
Deux-dix-neuf, un jeune se pointe et rentre 'vec une arme dans l'école
De l'autre côté du globe, un jeune écrit la douleur d'son époque
Essaie de s'faire entendre à coups de poing, de savate dans les porcs
Putain seigneur, pourquoi, qu'est-ce qu'on fout là ?
On part quand ? Vivement le quatrième cardan
Hors de question que je vous tire ma révérence, vous n'avez pas d'cran
La haine réduit nos espérances et la haine est un carcan
Et seigneur, pourquoi, qu'est-ce qu'on fout là ?
On part quand ? Vivement le quatrième cardan
J'veux m'en aller car quand je regarde autour de moi les âmes se confondent à des fleurs fanées délaissées par les archanges
Essaie de s'faire entendre à coups de poing, de savate dans les porcs
Putain seigneur, pourquoi, qu'est-ce qu'on fout là ?
On part quand ? Vivement le quatrième cardan
Hors de question que je vous tire ma révérence, vous n'avez pas d'cran
La haine réduit nos espérances et la haine est un carcan
Et seigneur, pourquoi, qu'est-ce qu'on fout là ?
On part quand ? Vivement le quatrième cardan
J'veux m'en aller car quand je regarde autour de moi les âmes se confondent à des fleurs fanées délaissées par les archanges
J'me mets la tête à l'envers toute l'année
Et quand je souffle c'est dans l'éthylomètre
Ces chiens veulent me manger dans la main
Maintenant j'les reniflent à des kilomètres
J'attends plus qu'on (???) ou qu'on s'entraide
J'marche seul, deux-trois kilos d'rimes dans l'trench
Toi tu racontes ta vie en grossissant l'trait
Mon cerveau s'ralentit; mes jambes s'traînent
Avant d'être devant mille personnes à rapper j'écrivais sur les bancs de la fac dans l'treize
Putain c'que j'suis devenu, obsédé par l'nombre de vues
Un simple babtou sans histoire qui rêve de devenir on trend
Ouais on s'traîne dans nos quartiers, on s'traîne, man
Et quand je souffle c'est dans l'éthylomètre
Ces chiens veulent me manger dans la main
Maintenant j'les reniflent à des kilomètres
J'attends plus qu'on (???) ou qu'on s'entraide
J'marche seul, deux-trois kilos d'rimes dans l'trench
Toi tu racontes ta vie en grossissant l'trait
Mon cerveau s'ralentit; mes jambes s'traînent
Avant d'être devant mille personnes à rapper j'écrivais sur les bancs de la fac dans l'treize
Putain c'que j'suis devenu, obsédé par l'nombre de vues
Un simple babtou sans histoire qui rêve de devenir on trend
Ouais on s'traîne dans nos quartiers, on s'traîne, man
Mauvais entre nous du coup on s'parle comme on s'traîte: mal
J'me mets la tête à l'envers toute l'année Ouais toute l'année gros
Et quand je souffle c'est dans l'éthylomètre l'éthylomètre
Ces chiens veulent me manger dans la main ces chiens
Maintenant j'les reniflent à des kilomètres kilomètres
J'me mets la tête à l'envers toute l'année Ouais toute l'année gros
Et quand je souffle c'est dans l'éthylomètre
Ces chiens veulent me manger dans la main dans la main, putain
Maintenant j'les reniflent à des kilomètres kilomètres
J'me mets la tête à l'envers toute l'année Ouais toute l'année gros
Et quand je souffle c'est dans l'éthylomètre l'éthylomètre
Ces chiens veulent me manger dans la main ces chiens
Maintenant j'les reniflent à des kilomètres kilomètres
J'me mets la tête à l'envers toute l'année Ouais toute l'année gros
Et quand je souffle c'est dans l'éthylomètre
Ces chiens veulent me manger dans la main dans la main, putain
Maintenant j'les reniflent à des kilomètres kilomètres
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