Paroles de la chanson Dose par L'As

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Paroles de la chanson Dose par L'As

Eh
L apostrophe A.S, Marseille
Eh, eh, eh, eh

J'lui ai donné sa dose, elle revient pour la deuxième
Qu'est-ce qu'elle est bonne, elle est comme un poney
Sapé comme jamais mais j'suis pas congolais
J'ai juré qu'c't'année, on va bien rigoler
J'les vois d'jà baliser, parler de chance, j'parle peu, j'aime pas trop parler dans le vent
J'arrive organisé, j'arrive en bande comme dans l'Classico, même si je n'suis pas dedans
Demande à Franklin, on nous la fait pas, c'est nous on l'a fait

On arrive en détente, niquer des tes-tan et des res-mè
Jamais genoux à terre sauf quand j'sors de garde-à-v' pour refaire les lacets
Génération rien vu rien entendu, d'toute façon, j'ai rien fait

J'réfléchis, j'écoute pas tout c'qui s'dit, dans tous les cas, tôt ou tard, tout se sait
À l'époque, je voyais pas le monde si p'tit, j'voulais les mêmes armes que dans Splinter Cell
Évidemment, c'est pas de l'or tout c'qui brille, faut des loves, perso', c'est tout c'que j'sais
Bientôt, dans l'bloc, y aura du Tucibi, génération inspirée par Stringer Bell

J'lui ai donné sa dose, elle revient pour la deuxième

Et je suis même sûr qu'elle viendra pour la troisième
Qu'est-ce qu'elle est bonne, elle est comme un poney
Elle a une cambrure, on dirait un poney
Sapé comme jamais mais j'suis pas congolais
Té-ma la dégaine, on dirait un mannequin
J'ai juré qu'c't'année, on va bien rigoler

Regarde-moi bien, fils de, qu'est-ce tu connais ?
La misère n'est pas moins pénible au soleil
Faut encore trois-quatre-cinq pistolets
Toi, quand ça pète, tu fermes les volets
Regarde-moi bien, fils de, qu'est-ce tu connais ?
La misère n'est pas moins pénible au soleil
Faut encore trois-quatre-cinq pistolets
Toi, quand ça pète, tu fermes les volets

Toi, quand ça pète, tu fermes les stores, moi, j'suis toujours trempé dans de sales histoires
Deux heures du mat', je suis toujours au charbon, même les samedis soirs, toujours au charbon
Je n'ai pas d'heure fixe, touche à mon pain, j'débarque chez toi
Demande à Curtis, j'ferais ça comme si c'était normal, han, comme si c'était normal
J'suis méchant tout comme padre, j'ai le démon mais je garde mon calme
J'pourrais chinga chinga tu madre, sur le terrain comme Kun Aguero, de la moula, du caramelo
Comme si c'était normal, j'suis méchant tout comme padre

J'réfléchis, j'écoute pas tout c'qui s'dit, dans tous les cas, tôt ou tard, tout se sait
À l'époque, je voyais pas le monde si p'tit, j'voulais les mêmes armes que dans Splinter Cell

Évidemment, c'est pas de l'or tout c'qui brille, faut des loves, perso', c'est tout c'que j'sais
Bientôt, dans l'bloc, y aura du Tucibi, génération inspirée par Stringer Bell

J'lui ai donné sa dose, elle revient pour la deuxième
Et je suis même sûr qu'elle viendra pour la troisième
Qu'est-ce qu'elle est bonne, elle est comme un poney
Elle a une cambrure, on dirait un poney
Sapé comme jamais mais j'suis pas congolais
Té-ma la dégaine, on dirait un mannequin
J'ai juré qu'c't'année, on va bien rigoler

Regarde-moi bien, fils de, qu'est-ce tu connais ?
La misère n'est pas moins pénible au soleil

Faut encore trois-quatre-cinq pistolets
Toi, quand ça pète, tu fermes les volets
Regarde-moi bien, fils de, qu'est-ce tu connais ?
La misère n'est pas moins pénible au soleil
Faut encore trois-quatre-cinq pistolets
Toi, quand ça pète, tu fermes les volets

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