Paroles de la chanson Qui M'aurait Dit? par Lucienne Boyer
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Paroles de la chanson Qui M'aurait Dit? par Lucienne Boyer
Lorsque tu passas par un clair matin
Le minois rieur, le regard mutin
Attirée soudain par ton frais sourire
Je pris comme toi le même chemin
Bientôt, gentiment, nous allions tous deux
Bras dessus dessous en vrais amoureux
Ah, ce matin-là, qui aurait pu dire
Qu'un jour je serais par toi malheureuse ?
Lorsqu'en riant je te jurais
Que je t'aimais à la folie
Qui m'aurait dit que tu tiendrais
Autant de place dans ma vie ?
Je m'amusais de mon serment
Et ne pensais t'aimer qu'à peine
Qui m'aurait dit qu'un jour pourtant
Le minois rieur, le regard mutin
Attirée soudain par ton frais sourire
Je pris comme toi le même chemin
Bientôt, gentiment, nous allions tous deux
Bras dessus dessous en vrais amoureux
Ah, ce matin-là, qui aurait pu dire
Qu'un jour je serais par toi malheureuse ?
Lorsqu'en riant je te jurais
Que je t'aimais à la folie
Qui m'aurait dit que tu tiendrais
Autant de place dans ma vie ?
Je m'amusais de mon serment
Et ne pensais t'aimer qu'à peine
Qui m'aurait dit qu'un jour pourtant
Tu me ferais tant de peine ?
Ah ! Qu'ils étaient beaux, tes jolis grands yeux
Tes yeux si profonds et si langoureux
Ton regard troublant comme une caresse
Semblait refléter tout l'azur des cieux
Ah ! Qu'il faisait bon dormir doucement
Dans tes petits bras, dans tes bras d'enfant
Pouvais-je penser que tant de tristesse
Si vite suivrait tant d'enchantement ?
Qui m'aurait dit que tes grands yeux
Au regard tendre et si candide
Cachaient un cœur malicieux
Un cœur de femme, un cœur perfide ?
Qui m'aurait dit que de ta main
Ta main si douce et si fragile
Tu briserais sans un chagrin
Ah ! Qu'ils étaient beaux, tes jolis grands yeux
Tes yeux si profonds et si langoureux
Ton regard troublant comme une caresse
Semblait refléter tout l'azur des cieux
Ah ! Qu'il faisait bon dormir doucement
Dans tes petits bras, dans tes bras d'enfant
Pouvais-je penser que tant de tristesse
Si vite suivrait tant d'enchantement ?
Qui m'aurait dit que tes grands yeux
Au regard tendre et si candide
Cachaient un cœur malicieux
Un cœur de femme, un cœur perfide ?
Qui m'aurait dit que de ta main
Ta main si douce et si fragile
Tu briserais sans un chagrin
Ma pauvre âme trop docile ?
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