Paroles de la chanson CHEH ! par Lucio Bukowski
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Paroles de la chanson CHEH ! par Lucio Bukowski
Un matin, tu t'réveilles entre murs différents
Quand tu parles de la mort, tu es plus déférent
Le café est plus amer que le chocolat tiède
Tu as perdu le feu, tu nourris le cancer
Tout le stress dans tes veines, tu en fais des poèmes
Mais tu sais que l'Éden n'est qu'arnaque de prophète
Tu les connais par cœur, leurs foutus leitmotivs
Laisses des fautes volontaires dans tes lettres de motiv'
Tout manque de finesse, même nos peaux s'épaississent
C'est le désert qui gagne à la fin d'la franchise
Plus rien de brillant, ils suceront pour des tips
Quand tu parles de la mort, tu es plus déférent
Le café est plus amer que le chocolat tiède
Tu as perdu le feu, tu nourris le cancer
Tout le stress dans tes veines, tu en fais des poèmes
Mais tu sais que l'Éden n'est qu'arnaque de prophète
Tu les connais par cœur, leurs foutus leitmotivs
Laisses des fautes volontaires dans tes lettres de motiv'
Tout manque de finesse, même nos peaux s'épaississent
C'est le désert qui gagne à la fin d'la franchise
Plus rien de brillant, ils suceront pour des tips
Tout l'monde s'passe devant, c'est un concours d'éclipses
J'voulais des crocos sur mes sapes puis j'ai grandi
J'voulais être riche, maintenant je crache dans leur Brandy
Mieux, ni des méchants ni des gentils
J'veux ni la vie d'Gandhi ni la vie d'bandit
J'peux être génial, j'peux être lamentable
Eh, j'peux être smicard, j'peux être diamantaire
J'peux être con, j'peux être beau, j'peux être fade
Mais plus manichéen comme le rideau d'fer
Sur le sol du boulot, j'essaye de reproduire
Le couinement du parquet sous la semelle avant l'tir
J'voulais des crocos sur mes sapes puis j'ai grandi
J'voulais être riche, maintenant je crache dans leur Brandy
Mieux, ni des méchants ni des gentils
J'veux ni la vie d'Gandhi ni la vie d'bandit
J'peux être génial, j'peux être lamentable
Eh, j'peux être smicard, j'peux être diamantaire
J'peux être con, j'peux être beau, j'peux être fade
Mais plus manichéen comme le rideau d'fer
Sur le sol du boulot, j'essaye de reproduire
Le couinement du parquet sous la semelle avant l'tir
Rien n'y fait, mon enfance n'est plus dans l'cinq majeur
Les quart-temps ont passé, la victoire est gageure
Les masques dans l'métro ne font plus rire personne
Ils voguent dans le même bateau ; moi, j'ai mon île perso'
Toujours peur des fantômes malgré leur pâle douceur
J'dis "bonjour" et "au revoir" même quand je suis tout seul
Y a des chutes dans les avènements
Eh, chaque jour est un caillement
On court toujours dans cette ville maudite
Vie entière, joies épisodiques
J'ai rien accompli de notable pour mon espèce
Rien à comprendre de notre art, c'est notre espace
Les quart-temps ont passé, la victoire est gageure
Les masques dans l'métro ne font plus rire personne
Ils voguent dans le même bateau ; moi, j'ai mon île perso'
Toujours peur des fantômes malgré leur pâle douceur
J'dis "bonjour" et "au revoir" même quand je suis tout seul
Y a des chutes dans les avènements
Eh, chaque jour est un caillement
On court toujours dans cette ville maudite
Vie entière, joies épisodiques
J'ai rien accompli de notable pour mon espèce
Rien à comprendre de notre art, c'est notre espace
Merde, rien à comprendre de nos déboires, frère
Rien à attendre de leurs débats, cheh
Rien à attendre de leurs débats, cheh
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