Paroles de la chanson Forceps par Lucio Bukowski

Chanson manquante pour "Lucio Bukowski" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Forceps"

Paroles de la chanson Forceps par Lucio Bukowski

L'étoile déprime, je ne dors pas, ciel sans péage et Rorcal
Café corsé dans corps las, femme viking, Roger Corman
Transhumance dans de bas empires, au pire, on vit dans de larges amplis
Sans âge s'empilent toutes leurs argenteries, mère des larmes, Dario Argento
L'amour et le sexe d'une vestale, sous le soleil, je m'esclaffe
Le respect se barre en vespa, nique l'industrie du spectacle
Dès tout p'tit, j'ai juré dans l'nombre, les forceps m'ont tiré dans c'monde
Wesh, wesh, trouvé temps long, wesh, wesh, purée, dents longues

Pierre Boulez, Xenakis, Ed Varèse, je fends la bise
À travers les ombres comme cauchemar d'enfant ; à travers les ombres, pochards rentrants
L'adresse a changé, putain d'merde, déjà l'aube te brûle la tête
Déjà l'aube te brûle la tête, déjà l'aube te brûle la tête
J'suis quasi tari matin-soir seulement sur l'??? patatra
Le coup est parti, baraka ; l'ennui, c'est le ??? pastaga
L'Idéal dans une mauvaise passe, client violent et promesses crasses
Sous mescal' dans un troquet sale, réveil brutal dans un coquet drame
Premier train, dernière fête, quatre cent quarante-quatre insomnies

Premier vin, dernière quête, au large des terres comme Tabarly
Nique leur mère, j'baisse pas les yeux, rêve à l'envers comme paresseux
Tous ensemble dans c'malaise vieux, le vide t'attire donc caresse-le
Nique leur mère, j'baisse pas les yeux, rêve à l'envers comme paresseux
Tous ensemble dans c'malaise vieux, le vide t'attire donc caresse-le
Vogue serein dans des limbes étranges, eux baisent l'orage sous du linge étanche
Tu vends ton âme, ils font pas d'échange, tes démons s'marrent, c'est la part des anges
J'vis mon truc comme l'???, pas d'avenir comme l'ancienneté
Notre espèce est bien beurrée, on disparaît sauf Bill Murray

J'traîne avec des colliers d'ails, suceurs d'sang et Cohiba
Le vote, c'est la liberté ou [IDA?], voué à la poussière, j'vis dans corrida
La lune me toise comme îlotier, le vent bicrave à Guillotière
D'allure courtoise, j'compte pas rester dans secteur vil sans pile offerte
Et sors ton âme, t'en fout plein leurs godasses, que des cartes SIM brûlant sous des thorax
Baiser l'monde est leur seule forme d'audace ; plus ça graille, plus ça devient vorace
Les storys de merde, vide sidérale, cerveau plastoc, cœur minéral
Cette trame de nuit, genre pinéale, n'atteint pas l'sable de Nouméa
Les storys de merde, vide sidérale, cerveau plastoc, cœur minéral

Cette trame de nuit, genre pinéale, n'atteint pas l'sable de Nouméa
Les storys de merde, vide sidérale, cerveau plastoc, cœur minéral
Cette trame de nuit, genre pinéale, n'atteint pas l'sable de Nouméa

Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)