Paroles de la chanson Lee Haney par Lucio Bukowski

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Paroles de la chanson Lee Haney par Lucio Bukowski

J'écris des mixtapes en deux jours et puis j'en fais même pas la com', mon frère
Tu d'mandes aux gens d'liker tes trucs, j'élève un gosse : chacun son dél'
Saute les tourniquets et goûte un monde plus vaste derrière le plexi'
Alcool raffiné et royalties dans la vessie
Pisse de la copie, tes vieux scribes hyperactifs sous coke
Gants de chanvre, résine, verre pilé comme Netsuko
J'veux voir le monde et pas sa projection
Sortie d'la caverne sans turbo diesel sport ni injection
Ne trempe pas dans les eaux viciées
Je crée hors des orbites officielles, crache sur les bottes de l'officier
Lucio Bukowski, ni avant ni après, ni outsider
Je suis mon propre élan, ma propre extase, comme le sculpteur sur bois Steiner
Inspirations lourdement armées
Mes idées poussent la fonte avec le sourire de Lee Haney
Seul sur mon domaine comme La Caution et Mafia K'1 K'1
Le sang gonflant l'organe de la créativité chaque matin
Ni Pablo ni Robin Hood
J'suis jamais le bienv'nu, comme David Cronenberg à Bollywood
Eh, dans aucun camp, j'vis dans les limbes
Flottant ci et là, esquivant couteaux dans les reins
L'Animalerie, mon amour, vois où ça nous mène
Y avait tellement pas d'concurrent qu'on s'est sabordés nous-mêmes
C'est notre côté fellinien entre génie et grotesque
On a fait l'choix de n'pas en faire, nos pieds s'balancent au-d'ssus d'vos têtes
Eh, d'ores et déjà plus loin qu'la plupart
Question d'vibrations, je suis ravi même sans la cithare
Pas b'soin d'remplir La Cigale ni d'allumer un cigare
Aucun euro en Sicav, gros frein à main en Simca
Ils savent qui sont les hommes d'honneur, du coup, il leur reste plus qu'les vues
On s'est fait toutes les muses, du coup, il leur reste plus qu'des putes
Quasiment mineures pour qu'elles comprennent leurs textes
La bouche toujours bien plus remplie qu'leur tête

Eh, j'vais pas t'mentir : parfois, j'fatigue
Dix ans que j'plie l'affaire, ça fait quatre cents titres en pratique
Eh, eh, l'inspiration jamais est statique
Des multivers dans l'crâne comme un schizophrène empathique, ouais
Ouais, j'vais pas t'mentir : parfois, j'fatigue
Dix ans que j'plie l'affaire, ça fait quatre cents titres en pratique
Eh, eh, l'inspiration jamais est statique
Des multivers dans l'crâne comme un schizophrène empathique, ouais

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