Paroles de la chanson Quand les fils se voient par Lucio Bukowski
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Paroles de la chanson Quand les fils se voient par Lucio Bukowski
Toujours à l'écart des catégories décaties
Ils ont des casiers mais, pour moi, c'est des peccadilles
J'creuse en dedans, ils s'écartent et je m'équarrie
Gin dans le bide en plein Piccadilly
J'amoncelle vision depuis la plus tendre enfance
Pour ça que je glisse entre tant d'engeances
Pour ça que l'orage me fout dans l'ambiance
J'dis rien mais j'mûris, mais sans vengeance
Aucun ennemi, que des démons sous mandat
Qu'on pendra en chantant des hymnes de bombes A
Démocratie, c'est l'aiguille dans l'avant-bras
C'n'est plus un complot quand les fils se voient
La banque et la peur ont mis Dieu à genoux
Les Hommes ont suivi dans l'élan mimétique
Ils ont des casiers mais, pour moi, c'est des peccadilles
J'creuse en dedans, ils s'écartent et je m'équarrie
Gin dans le bide en plein Piccadilly
J'amoncelle vision depuis la plus tendre enfance
Pour ça que je glisse entre tant d'engeances
Pour ça que l'orage me fout dans l'ambiance
J'dis rien mais j'mûris, mais sans vengeance
Aucun ennemi, que des démons sous mandat
Qu'on pendra en chantant des hymnes de bombes A
Démocratie, c'est l'aiguille dans l'avant-bras
C'n'est plus un complot quand les fils se voient
La banque et la peur ont mis Dieu à genoux
Les Hommes ont suivi dans l'élan mimétique
Les nouvelles églises sont au cœur de Genève
Châteaux plein la péninsule ibérique
Toujours se demander
"Quelle bouche attise les braises ?"
Toujours se demander
"Quelle mouche attire l'Eden ?"
Le monde est un cadavre à ciel ouvert
Des charognards lui font les poches
Mines de diamants et plafonds de verre
On s'enfonce toujours, dans le fond ricoche
L'argent du peuple dans du métal au Luxembourg
Une vie d'chantier pour une retraite de huit cents boules
Bouffeur de chair humaine depuis les origines
Civilisés, on a l'vote et les os rigides
Pas besoin d'La Boétie pour comprendre que servitude
Est codée dans nos doubles hélices
Châteaux plein la péninsule ibérique
Toujours se demander
"Quelle bouche attise les braises ?"
Toujours se demander
"Quelle mouche attire l'Eden ?"
Le monde est un cadavre à ciel ouvert
Des charognards lui font les poches
Mines de diamants et plafonds de verre
On s'enfonce toujours, dans le fond ricoche
L'argent du peuple dans du métal au Luxembourg
Une vie d'chantier pour une retraite de huit cents boules
Bouffeur de chair humaine depuis les origines
Civilisés, on a l'vote et les os rigides
Pas besoin d'La Boétie pour comprendre que servitude
Est codée dans nos doubles hélices
Pas besoin de Darwin pour savoir que l'Homme
Commença par ramper, jamais berger que loups élisent
Tout ça est fou et triste, hun
Le troisième œil voit trop flou et glisse (eh)
Survie ravagée par notre génie
Vos Anges de merde, c'est des eugénistes
Du déluge à Davos, le délire est dément
D'Adam à Musk, ouais, on s'dédie aux démons
Évoluant dans rêves hollywoodiens
Nouveau tour commence, tenez-vous bien
Commença par ramper, jamais berger que loups élisent
Tout ça est fou et triste, hun
Le troisième œil voit trop flou et glisse (eh)
Survie ravagée par notre génie
Vos Anges de merde, c'est des eugénistes
Du déluge à Davos, le délire est dément
D'Adam à Musk, ouais, on s'dédie aux démons
Évoluant dans rêves hollywoodiens
Nouveau tour commence, tenez-vous bien
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