Paroles de la chanson Runes par Lucio Bukowski
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Paroles de la chanson Runes par Lucio Bukowski
À mon échelle, je m'élève, j'reste ouvert aux vents contraires
J'voudrais pas crever sans avoir vu ce que ce monde offrait
Absorber l'énergie blanche qu'un soleil de plus avance
Sur la table des négociations, j'en croise de plus avant
M'en empreigne et saute à l'échelon suivant, c'est dans les runes
Mes trois cents prochains couplets sont enterrés dans mes ruines
J'veux juste voir le p'tit grandir et puis vider ce cognac
Respirer l'effluve antique d'une forêt de séquoias
J'voudrais pas crever sans avoir vu ce que ce monde offrait
Absorber l'énergie blanche qu'un soleil de plus avance
Sur la table des négociations, j'en croise de plus avant
M'en empreigne et saute à l'échelon suivant, c'est dans les runes
Mes trois cents prochains couplets sont enterrés dans mes ruines
J'veux juste voir le p'tit grandir et puis vider ce cognac
Respirer l'effluve antique d'une forêt de séquoias
J'accueille chaque putain d'matin comme une pure bénédiction
Ma flèche se dresse et pointe dans une nouvelle direction
J'voyage toujours plus loin les poches légères et sans crédit
Moins proche d'un rappeur français que de ???
Accumule les potentiels, ça repousse les mauvais démons
J'affronte ces salopes en cercle, retourne leur lame dans leur pénombre
Et le scintillement du jour sur les façades de la ville
Me rappelle opportunément que je m'efface dans l'abyme
De la grande aiguille de l'âge du fer, or sur le front
Ma flèche se dresse et pointe dans une nouvelle direction
J'voyage toujours plus loin les poches légères et sans crédit
Moins proche d'un rappeur français que de ???
Accumule les potentiels, ça repousse les mauvais démons
J'affronte ces salopes en cercle, retourne leur lame dans leur pénombre
Et le scintillement du jour sur les façades de la ville
Me rappelle opportunément que je m'efface dans l'abyme
De la grande aiguille de l'âge du fer, or sur le front
Alchimise ma poésie quand leur plomb dort sur le fond
Eh, j'connais les bases de l'envol
J'attends juste la falaise appropriée sans mandorle
Cette joie que je mets dans les choses, c'est l'œuvre de ma vie
J'la passerai pas dans l'obscurité terne, je grandis
Loin des ambitions déniées de panache, de magie
On vaut mieux et, quand on le comprend, on agit
Et les rois sont destitués et leurs reines sont des statues
Je sais où me situer, j'fais plus d'rêves, j'les ai vaincus
Y a des liasses dans des rorquals, le chant des étoiles sature
Eh, j'connais les bases de l'envol
J'attends juste la falaise appropriée sans mandorle
Cette joie que je mets dans les choses, c'est l'œuvre de ma vie
J'la passerai pas dans l'obscurité terne, je grandis
Loin des ambitions déniées de panache, de magie
On vaut mieux et, quand on le comprend, on agit
Et les rois sont destitués et leurs reines sont des statues
Je sais où me situer, j'fais plus d'rêves, j'les ai vaincus
Y a des liasses dans des rorquals, le chant des étoiles sature
Vois bien mieux que des organes tout autour des ossatures
Et les rois sont destitués et leurs reines sont des statues
Je sais où me situer, j'fais plus d'rêves, j'les ai vaincus
Y a des liasses dans des rorquals, le chant des étoiles sature
Vois bien mieux que des organes tout autour des ossatures
Inverse les couches épaisses des chutes successives ??? sur le front
Comme l'ange de rang déchu, ne rachète pas le sang du monde
Dans des labyrinthes en friche, le minotaure quittant l'affiche
Vide sa liqueur sur la terre noire d'autres vedettes prenant sa place
Et les rois sont destitués et leurs reines sont des statues
Je sais où me situer, j'fais plus d'rêves, j'les ai vaincus
Y a des liasses dans des rorquals, le chant des étoiles sature
Vois bien mieux que des organes tout autour des ossatures
Inverse les couches épaisses des chutes successives ??? sur le front
Comme l'ange de rang déchu, ne rachète pas le sang du monde
Dans des labyrinthes en friche, le minotaure quittant l'affiche
Vide sa liqueur sur la terre noire d'autres vedettes prenant sa place
Archétype d'un genre nouveau, leurs plats refroidissent chez Uber
Moins proche du Louvre que de Lascaux, j'vois plus loin comme Edwin Hubble
Rachète mon âme en bon vieux cash dans une rame en bout de quai
Le métro file, à c'que je sache, nouveau mira dans trou de verre
Tout est délétère, colonnes de marbre lézardées
Le son du vide interstellaire, celui de nos âmes égarées
Conserve ta propre tessiture, ta vision, ton récit pur
À contre-courant des standards, silex taillé sur étendard
Trace-les purs, la vie mettra c'qu'elle veut autour
Bien et mal se foutent dessus, nous sommes viande entre vautours
D'ici qu'la robe de l'avenir se retroussera
Vivre et mourir en guépard comme Tomasi di Lampedusa
D'ici qu'la robe de l'avenir se retroussera
Vivre et mourir en guépard comme Tomasi di Lampedusa
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