Paroles de la chanson Running backs par Lucio Bukowski
Chanson manquante pour "Lucio Bukowski" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Running backs"
Proposer une correction des paroles de "Running backs"
Paroles de la chanson Running backs par Lucio Bukowski
[Arm]
Tout c'qui t'lie te sépare d'autres, tout c'qui brille ne pèse pas
T'aurais vu c'qu'on était vraiment, tu saurais qu'on n't'aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l'temps nous prend la vie
L'identité se fragmente des zéro-un qui te résiste
Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras
Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas
Force aux silencieux, force aux running backs
Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
Tout c'qui t'lie te sépare d'autres, tout c'qui brille ne pèse pas
T'aurais vu c'qu'on était vraiment, tu saurais qu'on n't'aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l'temps nous prend la vie
L'identité se fragmente des zéro-un qui te résiste
Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras
Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas
Force aux silencieux, force aux running backs
Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
[Arm]
Un peu plus sourd à chaque fois qu'j'entends parler d'arrivée
On est loin de la côte et surtout pas prêt d'arrimer
J'voulais descendre un peu parce qu'on étouffait sous les tours
On voulait chevaucher des lions, redessiner les alentours
Tu peux garder les chiffres, on les remet là sous l'armure
On fait d'la musique comme on respire en épousant les ratures
À cent, à mille, on t'la refait, trace des feux dans ta rétine
Au milieu d'la nuit, tu sens l'effet, l'heure avancera, paraît-il
Un peu plus sourd à chaque fois qu'j'entends parler d'arrivée
On est loin de la côte et surtout pas prêt d'arrimer
J'voulais descendre un peu parce qu'on étouffait sous les tours
On voulait chevaucher des lions, redessiner les alentours
Tu peux garder les chiffres, on les remet là sous l'armure
On fait d'la musique comme on respire en épousant les ratures
À cent, à mille, on t'la refait, trace des feux dans ta rétine
Au milieu d'la nuit, tu sens l'effet, l'heure avancera, paraît-il
[Arm]
Tout c'qui t'lie te sépare d'autres, tout c'qui brille ne pèse pas
T'aurais vu c'qu'on était vraiment, tu saurais qu'on n't'aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l'temps nous prend la vie
L'identité se fragmente des zéro-un qui te résiste
Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras
Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas
Force aux silencieux, force aux running backs
Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
[Arm]
Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les)
Tout c'qui t'lie te sépare d'autres, tout c'qui brille ne pèse pas
T'aurais vu c'qu'on était vraiment, tu saurais qu'on n't'aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l'temps nous prend la vie
L'identité se fragmente des zéro-un qui te résiste
Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras
Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas
Force aux silencieux, force aux running backs
Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
[Arm]
Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les)
Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les)
Tout c'qui brille ne pèse pas (tout c'qui brille ne pèse pas)
Tout c'qui t'brille te sépare (tout c'qui brille te sépare, d'ailleurs)
[Lucio Bukowski]
Yo, déjà foutu depuis l'premier verre, déjà en marche depuis premier texte
Outsider puisque possédé, l'or et le plomb dans mes procédés
Rien à déclarer à la douane volante, flingue intérieur, j'ai la foi probante
Même égaré sur voie dissonante, des rois violents créent des lois violentes
Sans signature depuis jardin d'enfant, laisse pousser mes boutures sous des croisées d'ogives
Tout c'qui brille ne pèse pas (tout c'qui brille ne pèse pas)
Tout c'qui t'brille te sépare (tout c'qui brille te sépare, d'ailleurs)
[Lucio Bukowski]
Yo, déjà foutu depuis l'premier verre, déjà en marche depuis premier texte
Outsider puisque possédé, l'or et le plomb dans mes procédés
Rien à déclarer à la douane volante, flingue intérieur, j'ai la foi probante
Même égaré sur voie dissonante, des rois violents créent des lois violentes
Sans signature depuis jardin d'enfant, laisse pousser mes boutures sous des croisées d'ogives
Jamais je n'cherche les mots, ça, vous me trouvez entre Guts et Cool J
Eh, sous néon bleu d'un troquet désert, distillation de flux délétères
Les projecteurs dans la gueule, j'perds de vue les gens ; fais pour les p'tites rues, pas l'avenue des Champs
Eh, province et vida loca, L-Y, seigneur local
Eh, peau mince et vago d'occas', ils s'font la guerre entre hyènes et crotales
Eh, province et vida loca, L-Y, seigneur local
Eh, peau mince et vago d'occas', ils s'font la guerre entre hyènes et crotales
Remplis des salles et des salles, bouffer des scènes et des scènes partout dans c'putain d'pays
La grande machine reprend toujours le pas, toujours le pas (toujours le pas)
Repars à zéro, c'est la seule issue, remonte le terrain, je me resitue
Eh, sous néon bleu d'un troquet désert, distillation de flux délétères
Les projecteurs dans la gueule, j'perds de vue les gens ; fais pour les p'tites rues, pas l'avenue des Champs
Eh, province et vida loca, L-Y, seigneur local
Eh, peau mince et vago d'occas', ils s'font la guerre entre hyènes et crotales
Eh, province et vida loca, L-Y, seigneur local
Eh, peau mince et vago d'occas', ils s'font la guerre entre hyènes et crotales
Remplis des salles et des salles, bouffer des scènes et des scènes partout dans c'putain d'pays
La grande machine reprend toujours le pas, toujours le pas (toujours le pas)
Repars à zéro, c'est la seule issue, remonte le terrain, je me resitue
Aucun laurier, j'ai mes attributs, jamais de glace dans ma cigüe
[Arm]
Tout c'qui t'lie te sépare d'autres, tout c'qui brille ne pèse pas
T'aurais vu c'qu'on était vraiment, tu saurais qu'on n't'aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l'temps nous prend la vie
L'identité se fragmente des zéro-un qui te résiste
Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras
Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas
Force aux silencieux, force aux running backs
Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
[Arm]
Tout c'qui t'lie te sépare d'autres, tout c'qui brille ne pèse pas
T'aurais vu c'qu'on était vraiment, tu saurais qu'on n't'aime pas
Même sans toi, ça réplique parce que l'temps nous prend la vie
L'identité se fragmente des zéro-un qui te résiste
Si tu veux pas suivre alors tu disparaitras
Si tu disparais, tu renais ; si tu renais, ne reviens pas
Force aux silencieux, force aux running backs
Tes chanteurs sont pas des dieux, te regardent comme un reliquat
[ Arm]
Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les)
Redescends-les (redescends-les, redescends-les, redescends-les)
Tout c'qui brille ne pèse pas (tout c'qui brille ne pèse pas)
Tout c'qui t'brille te sépare (tout c'qui brille te sépare, d'ailleurs)
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)