Paroles de la chanson Cavale par Lupo
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Paroles de la chanson Cavale par Lupo
CAVALE
Bricole des lames, des mots pour trancher.
Les barreaux que tu limes libèrent leurs secrets.
Cambriole ton âme, souvenirs dérobés.
Ta cavale.
C'est parfois dans les longs silences que les souvenirs traversent la place.
Dans ta mémoire, danse le gamin des grands espaces.
Te rappelles-tu de l'insouciance, l'euphorie simple des jours heureux ?
Loin des drames qui nous menacent le monde pédale sous ton bmx bleu.
Y a eu des graviers sous ta peau, car parfois la vie, elle déraille.
Bricole des lames, des mots pour trancher.
Les barreaux que tu limes libèrent leurs secrets.
Cambriole ton âme, souvenirs dérobés.
Ta cavale.
C'est parfois dans les longs silences que les souvenirs traversent la place.
Dans ta mémoire, danse le gamin des grands espaces.
Te rappelles-tu de l'insouciance, l'euphorie simple des jours heureux ?
Loin des drames qui nous menacent le monde pédale sous ton bmx bleu.
Y a eu des graviers sous ta peau, car parfois la vie, elle déraille.
Tes cicatrices sont le cadeau, trésor de la beauté des drames.
Le temps te pousse vers les ivresses, les bras ouverts d'une autre fable.
L'adolescence est une caresse sur le torse du diable.
Si cruelle !
Bricole des lames, des mots pour trancher.
Les barreaux que tu limes libèrent leurs secrets.
Cambriole ton âme, souvenirs dérobés.
Ta cavale.
Un jour cette fille dans la ruelle et son regard qui t'empale.
Les premières fois sont éternelles, amour cannibale.
Mais les idylles ne durent qu'un temps et d'autres joies les enterrent.
Le temps te pousse vers les ivresses, les bras ouverts d'une autre fable.
L'adolescence est une caresse sur le torse du diable.
Si cruelle !
Bricole des lames, des mots pour trancher.
Les barreaux que tu limes libèrent leurs secrets.
Cambriole ton âme, souvenirs dérobés.
Ta cavale.
Un jour cette fille dans la ruelle et son regard qui t'empale.
Les premières fois sont éternelles, amour cannibale.
Mais les idylles ne durent qu'un temps et d'autres joies les enterrent.
Refaire le monde avec ton clan, courir sur le bord du cratère.
Y a eu des graviers sous ta peau, car parfois la vie, elle éclate.
Tu portes tes plaies comme un drapeau, étendard de tes nuits écarlates.
Le temps t'invite à la sagesse, à contrôler un peu ta flamme.
Mais si demain est forteresse, hier est ton sésame.
Y a eu des graviers sous ta peau, car parfois la vie, elle éclate.
Tu portes tes plaies comme un drapeau, étendard de tes nuits écarlates.
Le temps t'invite à la sagesse, à contrôler un peu ta flamme.
Mais si demain est forteresse, hier est ton sésame.
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