Paroles de la chanson Je Parle De Toi par Lupo
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Paroles de la chanson Je Parle De Toi par Lupo
JE PARLE DE TOI
Creuser dans l’innocence de l’enfance enterrée
Sous mes ongles la trace de ton corps échappé
J’écris dans ton silence, je parle de toi.
Gratter dans l’écorce d’un vide enraciné
Sous mes ongles la force d’un souvenir cultivé,
J’écris dans ton absence, je parle de toi.
Sous les Landes et les ronces de l’alcool remballé
Dans l’herbe et les démences, sur les pierres allégées
Du poids de ta présence, je parle de toi.
Des kilomètres de route en France à suer des phrases alambiquées
Creuser dans l’innocence de l’enfance enterrée
Sous mes ongles la trace de ton corps échappé
J’écris dans ton silence, je parle de toi.
Gratter dans l’écorce d’un vide enraciné
Sous mes ongles la force d’un souvenir cultivé,
J’écris dans ton absence, je parle de toi.
Sous les Landes et les ronces de l’alcool remballé
Dans l’herbe et les démences, sur les pierres allégées
Du poids de ta présence, je parle de toi.
Des kilomètres de route en France à suer des phrases alambiquées
Planquant le fond pour la pudeur, je sème mes mots pour me soigner.
J’cause pas d’ma vie pour qu’les gens dansent
Mais pour que dans l’noir, j’comprenne qui j’suis.
J’monte sur les scènes pour qu’la violence qui surfe en nous soit bonifiée.
J’parle de toi, j’parle de moi, c’est la même, nos vies sont liées.
Casser des murs, piger le monde, prendre du bon temps nos vices déliés.
Débarrassé de mille tabous, j’dessine en cris d’or dans la boue.
J’parle nous.
Sur les plateaux ou ma voix se délite, j’parle de nous
Dans la cavale de nos encres en poursuite, j’parle de moi
J’cause pas d’ma vie pour qu’les gens dansent
Mais pour que dans l’noir, j’comprenne qui j’suis.
J’monte sur les scènes pour qu’la violence qui surfe en nous soit bonifiée.
J’parle de toi, j’parle de moi, c’est la même, nos vies sont liées.
Casser des murs, piger le monde, prendre du bon temps nos vices déliés.
Débarrassé de mille tabous, j’dessine en cris d’or dans la boue.
J’parle nous.
Sur les plateaux ou ma voix se délite, j’parle de nous
Dans la cavale de nos encres en poursuite, j’parle de moi
Suspendu aux lignes de fuite, des câbles tendent vers toi.
Draguer dans l’inconscience la mort penchée sur toi
Dans ma cours l’imprudence, un pas vers ton sofa
Je réduis la distance, je parle de toi.
Tournant mille séquences, mon oeil privé de toi
Décrit l’ambivalence du feu qui vit chez moi
Ma force est ma sentence, je parle de toi.
Des kilomètres de doutes en transe à suer des phrases inachevées
Trempant ma plume dans ta liqueur, je panse mes maux pour te trouver.
J’parle pas d’nos vies pour faire séquence, mais pour y croire quand vient la nuit.
Je chante le fil qui nous balance, nous, funambules aux yeux bandés.
Draguer dans l’inconscience la mort penchée sur toi
Dans ma cours l’imprudence, un pas vers ton sofa
Je réduis la distance, je parle de toi.
Tournant mille séquences, mon oeil privé de toi
Décrit l’ambivalence du feu qui vit chez moi
Ma force est ma sentence, je parle de toi.
Des kilomètres de doutes en transe à suer des phrases inachevées
Trempant ma plume dans ta liqueur, je panse mes maux pour te trouver.
J’parle pas d’nos vies pour faire séquence, mais pour y croire quand vient la nuit.
Je chante le fil qui nous balance, nous, funambules aux yeux bandés.
J’parle de toi, j’parle de moi, c’est la même, nos vies sont liées.
Parler d’amour, jouer de la fronde, fendre le vent nos vices déliés
Débarrassé de mille tabous, je jette mes menottes dans un grand trou.
J’parle nous.
Sur les plateaux ou ma voix se délite, j’parle de nous
Dans la cavale de nos encres en poursuite, j’parle de moi
Suspendu aux lignes de fuite, des câbles tendent vers toi.
Parler d’amour, jouer de la fronde, fendre le vent nos vices déliés
Débarrassé de mille tabous, je jette mes menottes dans un grand trou.
J’parle nous.
Sur les plateaux ou ma voix se délite, j’parle de nous
Dans la cavale de nos encres en poursuite, j’parle de moi
Suspendu aux lignes de fuite, des câbles tendent vers toi.
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