Paroles de la chanson Au Ciel Ou À La Vie par Lynda Lemay
Chanson manquante pour "Lynda Lemay" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Au Ciel Ou À La Vie"
Proposer une correction des paroles de "Au Ciel Ou À La Vie"
Paroles de la chanson Au Ciel Ou À La Vie par Lynda Lemay
Comme un arbre géant
Comme un arbre gelé
Il est planté le temps
Le temps il est figé
Les minutes grelottent
Et lui tombent des branches
Et les minutes mortes
Tapissent mes nuits blanches
Le temps baisse les branches
Mais je n’baisse pas les bras
Je remonte mes manches
Et j’avance vers toi
Toi que je ne vois plus
Comme un arbre gelé
Il est planté le temps
Le temps il est figé
Les minutes grelottent
Et lui tombent des branches
Et les minutes mortes
Tapissent mes nuits blanches
Le temps baisse les branches
Mais je n’baisse pas les bras
Je remonte mes manches
Et j’avance vers toi
Toi que je ne vois plus
Qu’en rêve ou qu’en cauchemar
Toi qui es disparue
Mais qui es quelque part
Au fil des insomnies
J’écris des scénarios
Y a différents pays
Y a différents bourreaux
J’sais plus où je t’espère
Au ciel ou à la vie
J’voudrais t’sauver d’l’enfer
Sans t’perdre au paradis
Sans t'perdre au paradis
Le temps s’est arrêté
Mais moi je continue
Je compte les années
Toi qui es disparue
Mais qui es quelque part
Au fil des insomnies
J’écris des scénarios
Y a différents pays
Y a différents bourreaux
J’sais plus où je t’espère
Au ciel ou à la vie
J’voudrais t’sauver d’l’enfer
Sans t’perdre au paradis
Sans t'perdre au paradis
Le temps s’est arrêté
Mais moi je continue
Je compte les années
À quoi ressembles-tu ?
Aurais-je pu te revoir
Sans t’avoir reconnue ?
L’espace qui nous sépare
Se mesure-t-il en rues ?
Le temps est immobile
Mais moi j’accroche encore
Ton sourire de petite fille
Dans tous les corridors
Qu’on n’me parle pas de deuil
Je ne perds pas espoir
Même si le temps s’effeuille
Depuis ton grand départ
J’ai usé mes prières
Aurais-je pu te revoir
Sans t’avoir reconnue ?
L’espace qui nous sépare
Se mesure-t-il en rues ?
Le temps est immobile
Mais moi j’accroche encore
Ton sourire de petite fille
Dans tous les corridors
Qu’on n’me parle pas de deuil
Je ne perds pas espoir
Même si le temps s’effeuille
Depuis ton grand départ
J’ai usé mes prières
À m’en trouer la foi
Qu’est-ce qui fout Dieu le père
Quand il ne répond pas
Qu’a-t-il de tout puissant
Ce vieux fantôme-là
Qui n’lève pas le petit doigt
Pour sauver mon enfant!
Pour sauver mon enfant!
J’ai la foi en lambeaux
Pourtant je prie toujours
Qu’on me fasse le cadeau
De t’retrouver un jour
Au ciel ou ici-bas
Peu importe pourvu
Que tu ne souffres pas
Qu’est-ce qui fout Dieu le père
Quand il ne répond pas
Qu’a-t-il de tout puissant
Ce vieux fantôme-là
Qui n’lève pas le petit doigt
Pour sauver mon enfant!
Pour sauver mon enfant!
J’ai la foi en lambeaux
Pourtant je prie toujours
Qu’on me fasse le cadeau
De t’retrouver un jour
Au ciel ou ici-bas
Peu importe pourvu
Que tu ne souffres pas
Que tu ne souffres plus
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)