Paroles de la chanson Des Milliers De Plumes par Lynda Lemay
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Paroles de la chanson Des Milliers De Plumes par Lynda Lemay
Je suis partie comme vous l’savez
Perdue en dehors de vos bras
Comme engloutie, comme oubliée
Comme ensevelie dans de sales draps
Je suis partie en vous appelant
J’ai pas trop su ce qui s’passait
On m’parlait plus d’puis un moment
C’était désert à mon chevet
Je suis partie en trébuchant
J’voulais pas rester dans cette chambre
Là où les heures dev’naient des ans
Là où j’en pouvais plus d’attendre
Là où j’en pouvais plus d’attendre
Perdue en dehors de vos bras
Comme engloutie, comme oubliée
Comme ensevelie dans de sales draps
Je suis partie en vous appelant
J’ai pas trop su ce qui s’passait
On m’parlait plus d’puis un moment
C’était désert à mon chevet
Je suis partie en trébuchant
J’voulais pas rester dans cette chambre
Là où les heures dev’naient des ans
Là où j’en pouvais plus d’attendre
Là où j’en pouvais plus d’attendre
Je suis tombée un peu trop bas
J’ai mis le pied là où brûlait l’enfer
J’ai eu trop peur, alors excusez-moi
Y a fallu qu’j’ferme les paupières
Et là ben, croyez-moi ou non
J’ai eu autre chose que froid dans l’dos
C’tait pas d’la fièvre, ce frisson
C’tait pas un spasme de sanglot
C’était comme si des milliers d’plumes
Voulaient m’passer entre les os
Comme si une sorte de rayon d’lune
Voulait m’transformer en faisceau
J’ai déployé mes omoplates
Avec une souplesse infinie
Et soudain, j’me suis mise à battre
J’ai mis le pied là où brûlait l’enfer
J’ai eu trop peur, alors excusez-moi
Y a fallu qu’j’ferme les paupières
Et là ben, croyez-moi ou non
J’ai eu autre chose que froid dans l’dos
C’tait pas d’la fièvre, ce frisson
C’tait pas un spasme de sanglot
C’était comme si des milliers d’plumes
Voulaient m’passer entre les os
Comme si une sorte de rayon d’lune
Voulait m’transformer en faisceau
J’ai déployé mes omoplates
Avec une souplesse infinie
Et soudain, j’me suis mise à battre
De ces deux ailes qu’on nous prédit
De ces deux ailes qu’on nous prédit
Et me voilà dans votre mystère
Vous me cherchez partout, vous êtes inquiets
Et moi, je vous regarde vous en faire
D’la même façon que j’m’en faisais
Quand j’avais un pied dans l’enfer
Et que personne jamais ne m’répondait
Et je vous envoie toute ma lumière
Mais votre brouillard est bien épais
Ne vous posez pas trop d’questions
J’peux pas répondre comme il faut
Puisque ma voix n’émet plus d’son
Tendez l’oreille aux chants d’oiseaux
De ces deux ailes qu’on nous prédit
Et me voilà dans votre mystère
Vous me cherchez partout, vous êtes inquiets
Et moi, je vous regarde vous en faire
D’la même façon que j’m’en faisais
Quand j’avais un pied dans l’enfer
Et que personne jamais ne m’répondait
Et je vous envoie toute ma lumière
Mais votre brouillard est bien épais
Ne vous posez pas trop d’questions
J’peux pas répondre comme il faut
Puisque ma voix n’émet plus d’son
Tendez l’oreille aux chants d’oiseaux
Je n’habite pas dans l’horizon
Je n’habite pas non plus dans vos sanglots
Mais je suis là un peu comme un frisson
Je vous caresse déjà le dos
Je vous caresse déjà le dos
Je n’habite pas non plus dans vos sanglots
Mais je suis là un peu comme un frisson
Je vous caresse déjà le dos
Je vous caresse déjà le dos
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