Paroles de la chanson Entre les pierres par MPL (Ma pauvre Lucette)
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Paroles de la chanson Entre les pierres par MPL (Ma pauvre Lucette)
Quand les pierres se mettent à pleurer
On leur tend un mouchoir, on leur dit qu’ça passera
Juste un passage à vide, un souffle coupé
L’histoire de deux générations et c’est passé déjà
Ok, la vie a ralenti un peu
Mais le temps, lui, tranquillement suit son cours
Les vieux sont chaque seconde un peu plus vieux
Et les tuiles tombent toujours
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité en mise en scène
On se laisse un peu prendre au jeu
On leur tend un mouchoir, on leur dit qu’ça passera
Juste un passage à vide, un souffle coupé
L’histoire de deux générations et c’est passé déjà
Ok, la vie a ralenti un peu
Mais le temps, lui, tranquillement suit son cours
Les vieux sont chaque seconde un peu plus vieux
Et les tuiles tombent toujours
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité en mise en scène
On se laisse un peu prendre au jeu
Quand les pierres se mettent à pleurer
On leur invente des histoires, juste pour que ça passe
On disait que l’marchand d’glace reviendrait
Et qu’on aurait des voisins qui s’installeraient en face
Qu’il n’y aurait plus de maison vide, jamais
Quand l’patrimoine nous dépasse, c’est peut-être ça le pire
Que seuls compteraient ceux qui arrivent et ceux qui sont restés
Et qu’les nouveaux seraient les anciens et avec le sourire
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité en mise en scène
On se laisse un peu prendre au jeu
On leur invente des histoires, juste pour que ça passe
On disait que l’marchand d’glace reviendrait
Et qu’on aurait des voisins qui s’installeraient en face
Qu’il n’y aurait plus de maison vide, jamais
Quand l’patrimoine nous dépasse, c’est peut-être ça le pire
Que seuls compteraient ceux qui arrivent et ceux qui sont restés
Et qu’les nouveaux seraient les anciens et avec le sourire
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité en mise en scène
On se laisse un peu prendre au jeu
(J’avais mis tous mes rêves sous vide. J’avais dit qu’je les ressortirai le jour où j’arrêterais de compter mes rides. Et puis quelqu’un que j’n’connaissais même pas m’a dit « Mais, faut bouger ! Faut mettre deux boules sur ton cornet ! ». J’ai pas compris mais je suis parti quand même, retrouvé au bout la chaleur, celle qui fait d’nous des êtres humeur. Maintenant qu’j’suis posé sur la place, que dirais-tu d’briser la glace ?)
Quand les pierres se mettent à pleurer
On leur raconte ce qu’on va vraiment faire
Qu’on va chasser les chats des granges à coups de balais
Et qu’on va sauver les meubles avant qu’ils tombent par terre
Qu’on s’y met, et qu’on va faire tellement d’enfants
Qu’on y croit aujourd’hui, que l’blues est loin derrière
Qu’on écrit les vieilles histoires au présent
Et qu’on sait lire entre les pierres
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité en mise en scène
On se laisse un peu prendre au jeu
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité
Qu’on y croit aujourd’hui, que l’blues est loin derrière
Qu’on écrit les vieilles histoires au présent
Et qu’on sait lire entre les pierres
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité en mise en scène
On se laisse un peu prendre au jeu
Et si l’église sonne aux heures pleines
Et les murs tremblent un peu
De vérité
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