Paroles de la chanson Pertes et fracas par Maestro
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Paroles de la chanson Pertes et fracas par Maestro
Elle est partie cette insouciance
Cette joie de vivre qui se dandine et qui danse
Cette envie de découvrir, l'innocence
La simplicité même de l'enfance
Elle est partie cette vitalité
Qui se balance sur un fil tout en légèreté
Qui profite du présent hiver comme été
Une vie sans limites et sans contrariétés
Elle est partie cette folie de la jeunesse
Qui déplace des montagnes et réalise des prouesses
Des rêves pleins la tête où vivent des princes et princesses
Une allégresse divine qui remplie les cœurs de promesses
Cette joie de vivre qui se dandine et qui danse
Cette envie de découvrir, l'innocence
La simplicité même de l'enfance
Elle est partie cette vitalité
Qui se balance sur un fil tout en légèreté
Qui profite du présent hiver comme été
Une vie sans limites et sans contrariétés
Elle est partie cette folie de la jeunesse
Qui déplace des montagnes et réalise des prouesses
Des rêves pleins la tête où vivent des princes et princesses
Une allégresse divine qui remplie les cœurs de promesses
Il est parti ce rire qui explose en éclat
Que l'on ne peut arrêter sans y mettre le holà
Où le paraître est un mot absent de l'almanach
Se lâcher pleinement car le ridicule ne tue pas
Il est parti le temps où l'on peut en prendre
Où l'on profite gaiement sans aucuns comptes à rendre
Où jouer à cache-cache arrive encore à surprendre
Car on est pas dans le calcul juste du bonheur à revendre
Ils sont partis les sentiments purs
La franchise discrète qui résiste à l'usure
Une aigreur maussade laissant place à l'azur
La patience d'attendre que le fruit soit enfin mûr
Que l'on ne peut arrêter sans y mettre le holà
Où le paraître est un mot absent de l'almanach
Se lâcher pleinement car le ridicule ne tue pas
Il est parti le temps où l'on peut en prendre
Où l'on profite gaiement sans aucuns comptes à rendre
Où jouer à cache-cache arrive encore à surprendre
Car on est pas dans le calcul juste du bonheur à revendre
Ils sont partis les sentiments purs
La franchise discrète qui résiste à l'usure
Une aigreur maussade laissant place à l'azur
La patience d'attendre que le fruit soit enfin mûr
Elles sont parties la bêtise et les moqueries
Sans cette haine malsaine synonyme d'infamie
Les délires juvéniles qui s'amusent de la vie
Avant de tout envoyer balader sans aucuns préavis
Ils ou elles sont partis et nous on reste
Nous les adultes sûrs de nos faits et gestes
Baignant dans nos certitudes et refusant qu'on nous conteste
Avec nos rêves perdus et nos décisions funestes
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