Paroles de la chanson Les Humains par Magnar

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Paroles de la chanson Les Humains par Magnar

Ça y’est il était temps je m’tire,
Ça m’suffit pas quand j’en fume un.
Y’a plus rien qui peut m’faire rev’nir,
Moins j’en croise plus j’me sens humain.
Dans mon vaisseau personne va m’barrer la route,
J’passerais pas des années à traquer l’amour.
J’suis dans la jungle et les serpents c’est mes amis.
J’reviendrais peut-être jamais chez les humains.

Les humains rarement j’suis fier d’en faire partie,
J’suis dans les limbes, ou sur Terre, c’est pareil, l’enfer s’maquille.

J’viens d’une espèce plus animale, que tous les animaux, mon âme ça fait longtemps qu’elle est
damnée
J’veux surtout pas moisir ici, la jungle m’appelle, si j’la r’joins pas, I don’t know…
Et chaque jour que dieu fait, le ciel me rattrape,
J’étais fait pour voler,
Dans la peau d’un dragon moi,
J’frais partie des histoires qu’on t’racontera.

Ça y’est il était l’temps je m’tire,
Ça m’suffit pas quand j’en fume un.
Y’a plus rien qui peut m’faire rev’nir,
Moins j’en croise plus j’me sens humain.
Dans mon vaisseau personne va m’barrer la route,

J’passerais pas des années à traquer l’amour.
J’suis dans la jungle et les serpents c’est mes amis.
J’reviendrais peut-être jamais chez les humains.

J’veux tout baiser d’puis l’enfance,
J’veux tout baiser d’puis longtemps,
Et mes yeux n’ont rien à voir,
C’est pour ça qu’j’suis dans l’avion
J’veux tout baiser d’puis l’enfance, des rêves qu’ont pimentera,
J’veux tout baiser d’puis longtemps, que des chaînes qui m’entravent,
C’est soit des foules qui m’encensent, soit des arbres qui chuchotent,
Ils m’ont dit qu’faire des choix d’merde ça faisait partie du job.

S’en aller c’est facile,
J’suis parti loin d’chez moi sans oublier mes racines.
Ferme les yeux quand tu t’endors,
Ouvre les quand tu t’envoles.
Et la vida vida vida vida vida,
Passe plus vite que les doigts d’jimmy sur sa guitare,
L’oxygène qu’on inhale, inhale, inhale, inhale,
S’ra toujours plus précieux qu’un putain d’million d’milliard,

Ça y’est il était l’temps je m’tire,
Ça m’suffit pas quand j’en fume un.
Y’a plus rien qui peut m’faire rev’nir,
Moins j’en croise plus j’me sens humain.
Dans mon vaisseau personne va m’barrer la route,

J’passerais pas des années à traquer l’amour.
J’suis dans la jungle et les serpents c’est mes amis.
J’reviendrais peut-être jamais chez les humains.

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