Paroles de la chanson Trace Plat par Makja
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Paroles de la chanson Trace Plat par Makja
Brancards dépliés, médecins priés
Même tard, ils peuvent te remettre sur pied.
Bientôt ici, tu pourras crier :
« Où sont les S.A.M.U et pompiers ? »
Moins de justice, moins de service,
Moins de sirène hormis celles de la police.
Moins d’équité, moins de justesse,
Ce soir c’est toujours plus de droits qui régressent.
Vieillesse, jeunesse,
C’est tout un corps social qu’on dépèce.
Plus de garrot, plus de compresse,
On ampute puis sur le côté on délaisse.
Acquis qu’on fracture,
A qui fait-on payer la facture ?
Les plaies restent sans suture
Même tard, ils peuvent te remettre sur pied.
Bientôt ici, tu pourras crier :
« Où sont les S.A.M.U et pompiers ? »
Moins de justice, moins de service,
Moins de sirène hormis celles de la police.
Moins d’équité, moins de justesse,
Ce soir c’est toujours plus de droits qui régressent.
Vieillesse, jeunesse,
C’est tout un corps social qu’on dépèce.
Plus de garrot, plus de compresse,
On ampute puis sur le côté on délaisse.
Acquis qu’on fracture,
A qui fait-on payer la facture ?
Les plaies restent sans suture
Et donc bien sûr les blessés sans futur.
Le présent ou l’après,
Plus personne ne sait désormais qui l’assure
Plus les ans peuvent passer,
Plus je vois s’amplifier la cassure.
Pas de peine plancher en cas de non-assistance à peuple en danger.
Droits retranchés, cela sent à plein nez, le tracé plat !
La course au profit, on la généralise,
Avec la mort aux trousses, l’état rationnalise
Tout se monnaie, tronçonner le service public
Sans pour autant raisonner
Pour plus de fric sous le ton de l’austérité,
Ils osent retirer des postes vitaux à notre santé !
Le présent ou l’après,
Plus personne ne sait désormais qui l’assure
Plus les ans peuvent passer,
Plus je vois s’amplifier la cassure.
Pas de peine plancher en cas de non-assistance à peuple en danger.
Droits retranchés, cela sent à plein nez, le tracé plat !
La course au profit, on la généralise,
Avec la mort aux trousses, l’état rationnalise
Tout se monnaie, tronçonner le service public
Sans pour autant raisonner
Pour plus de fric sous le ton de l’austérité,
Ils osent retirer des postes vitaux à notre santé !
L’ère des coupes budgétaires,
A pour responsable les ministères,
Futur impensable, les commanditaires planchent
Et donc embauchent des publicitaires
Tranchent dans le vif,
Coups de canif qui fauchent toujours les mêmes qui galèrent.
Qui porte, qui témoigne,
Les plaies suintent sans que l’Etat ne la soigne
Réalité dépeinte, où est passée la poigne ?
Défunte est Marianne, le cancer sous la couenne !
Pas de peine plancher en cas de non-assistance à peuple en danger.
Droits retranchés, cela sent à plein nez, le tracé plat !
A pour responsable les ministères,
Futur impensable, les commanditaires planchent
Et donc embauchent des publicitaires
Tranchent dans le vif,
Coups de canif qui fauchent toujours les mêmes qui galèrent.
Qui porte, qui témoigne,
Les plaies suintent sans que l’Etat ne la soigne
Réalité dépeinte, où est passée la poigne ?
Défunte est Marianne, le cancer sous la couenne !
Pas de peine plancher en cas de non-assistance à peuple en danger.
Droits retranchés, cela sent à plein nez, le tracé plat !
Doit-on attendre qu’il y ait des morts, pour enfin prétendre faire l’effort,
Corps froid, face contre terre, à qui le tort ? Nous ne sommes pas suicidaires.
Pendant que la terre tourne, certains crèvent, des perfusions que sciemment ils enlèvent.
La France est terre de droit, mais chaque hiver, le nombre de décès dans le silence s’accroit.
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