Paroles de la chanson Dernier Combat par Manau
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Paroles de la chanson Dernier Combat par Manau
Ça fait déjà des mois que t’es partie, me laissant seul
Me voilà aujourd’hui devant toi, assis sur le sol
Entre les fleurs, le marbre et toutes ces dalles sombres
Je ne peux voir que ton prénom inscrit sur cette tombe
La suite de ma vie, tu sais a tellement changé
On dit que c’est ainsi et que le temps va me faire oublier
Malgré les jours passés, je n’y arrive pas
Et jour et nuit, je pense à toi
J’entends souvent ton rire, le son de ta voix
J’ai même des souvenirs qui me reviennent des fois
Me voilà aujourd’hui devant toi, assis sur le sol
Entre les fleurs, le marbre et toutes ces dalles sombres
Je ne peux voir que ton prénom inscrit sur cette tombe
La suite de ma vie, tu sais a tellement changé
On dit que c’est ainsi et que le temps va me faire oublier
Malgré les jours passés, je n’y arrive pas
Et jour et nuit, je pense à toi
J’entends souvent ton rire, le son de ta voix
J’ai même des souvenirs qui me reviennent des fois
Les réalités, complicités du passé
De tout ce que l’on a fait ensemble et que rien ne peut effacer
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère
Qui m’envahit comme un aimant attiré par le fer
Putain de maladie qui ne s’arrête pas
J’n’étais pas là pour ton dernier combat
Je vais rester debout, continuer mon chemin
À prendre encore des coups, ça va dépendre des lendemains
Un jour tu m’as dit que la vie ressemble à un bouquin
Qu’il y a le début, le milieu et bien sûr la fin
C’est sûr, aujourd’hui je sais où j’en suis
De tout ce que l’on a fait ensemble et que rien ne peut effacer
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère
Qui m’envahit comme un aimant attiré par le fer
Putain de maladie qui ne s’arrête pas
J’n’étais pas là pour ton dernier combat
Je vais rester debout, continuer mon chemin
À prendre encore des coups, ça va dépendre des lendemains
Un jour tu m’as dit que la vie ressemble à un bouquin
Qu’il y a le début, le milieu et bien sûr la fin
C’est sûr, aujourd’hui je sais où j’en suis
Je viens de finir le dernier chapitre de ta vie
Tu peux partir en paix , toi seule avais raison
Et rendez-vous sur l’Île d’Avalon
J’entends souvent ton rire, le son de ta voix
J’ai même des souvenirs qui me reviennent des fois
Les réalités, complicités du passé
De tout ce que l’on a fait ensemble et que rien ne peut effacer
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère
Qui m’envahit comme un aimant attiré par le fer
Putain de maladie qui ne s’arrête pas
J’n’étais pas là pour ton dernier combat
J’n’étais pas là pour ton dernier combat
Tu peux partir en paix , toi seule avais raison
Et rendez-vous sur l’Île d’Avalon
J’entends souvent ton rire, le son de ta voix
J’ai même des souvenirs qui me reviennent des fois
Les réalités, complicités du passé
De tout ce que l’on a fait ensemble et que rien ne peut effacer
Et pourtant, il y a ce sentiment de colère
Qui m’envahit comme un aimant attiré par le fer
Putain de maladie qui ne s’arrête pas
J’n’étais pas là pour ton dernier combat
J’n’étais pas là pour ton dernier combat
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